Le retour de jeunes mariés [ Tristan ]

Magdalena était réellement sur un nuage en ce moment, et rien ni personne ne pourrait lui permettre d'en descendre. Premièrement, elle ne s'appelait plus Magdalena Van Dyke Lewis, mais plutôt Magdalena V. Anderson. Elle venait tout juste de le changer, avait rempli les papiers lui permettant de changer le nom, délaisser son nom de jeune fille pour prendre celui de son mari, Tristan. Elle sortait avec ce dernier depuis maintenant plus de cinq ans, elle s'était fiancée avec lui, et ils venaient de se marier avec leur famille et également leurs amis, dans deux cérémonies magnifiques. La première sur la plage de Providence, et la seconde à Juneau, près de l'océan, dans un endroit un peu plus frais, mais dans une autre cérémonie magnifique et inoubliable.

Après un voyage de noces qui s'était déroulé dans un merveilleux hôtel à Cuba, il était maintenant temps de rentrer à la maison. Leur maison. Là où ils allaient élever leur premier enfant dont Maggie était enceinte de quelques mois. Avant son départ, elle était passée chez le médecin, et il lui avait mentionné qu'il allait lui envoyer les résultats de l'échographie par la poste une fois que celles-ci seraient prêtes. Par contre, Maggie ne pouvait pas le savoir encore, puisque jusqu'à quelques minutes auparavant, elle dormait dans l'avion, la main de Tristan dans la sienne, dormant sur son épaule. Elle se sentait si bien, malgré le fait que le bébé continuait de grandir en elle - elle avait commencé à prendre sérieusement du poids, et maintenant ça paraissait -, qu'elle ne vit même pas le voyage en avion passé. Elle se réveilla seulement quand l'avion se mit à descendre, et elle dit:

- Nous sommes arrivés ?

Maggie se releva donc, et comme de fait, ils descendirent de l'avion, récupérèrent leurs bagages. Comme ils étaient partis de Juneau, donc sans voiture, ils devaient trouver un moyen de rentrer, et encore un peu endormie, Maggie proposa:

- On appelle un taxi ?

Deux mariages parfait, nos familles complètes et nos amis pour fêter cette évènement telement important dans sa vie et dans la mienne. D'ailleur en quittant la deuxième cérémonie pour partir a Cuba avec celle qui a présent ma femme, celle qui j'aime et que j'aimerai toute ma vie. La nuit de noce enfin plutot les vacances de noces fut les plus belles vacances de toutes ma vie. Aujourd'hui là, à l'instant même on est dans l'avion, moi ayant légèrement le vertige, je pris le plus grand soin de ne pas regarder par les petites fenètres mais plutot a observé la plus belle de toute les femmes Magdalena, elle dormait paisiblement, d'ailleur je me demandais comment elle pouvait dormir dans un avion.

Après de longues heures, on arrivèrent enfin a Providence. Enfin l'avion allait plutot attérir, ma petite femme chérie quand t'a elle se réveilla légèrement et me demanda si on était arrivé. Je lui souria m'approcha d'elle et posa un baisé sur mes lèvres.

-Oui, on va attérir.

Je la pris dans mes bras, après biensur avoir attaché ma ceinture pour attérir. L'avion attérissa sans problème, on sortirent de celui-ci et partont ensemble rechercher nos bagages.

Une fois récupéré on sorti de l'aéoroport et elle me demanda encore toute endormie si on appelait un taxi, je lui souria, pas besoin de circuit, j'avais demandé a mon meilleur ami d'aller chercher la voiture que j'avais acheter avant les mariages, celle qu'elle voulait avoir.

Vous vous demandez surment comment je vais repérer la voiture, bin vous le saurez plus tard, la je vais annoncer a ma chérie.

-Pas besoin de taxi, Madame V.Anderson. Venez avec moi.

Je lui pris la main et la dirigea la ou m'avait indiqué mon pote, une fois arrivé, je pris la clés que j'avais déja eu avant de partir et lui tendit.

-Voici votre voiture Jeune marié.

Maggie n'avait jamais pris l'avion avant de partir pour étudier à Brown. Sa première expérience s'étant très bien déroulée, elle n'avait maintenant plus peur. Évidemment, le décollage, cette fois-ci, lui avait fait quelque chose, mais ce n'était pas habituel, c'était surtout parce qu'elle était enceinte, et que ça commençait même à paraître, si bien qu'elle avait du mal à boutonner ses jeans, ayant finalement passé la durée du voyage de noces en robe ou en jupe. Enfin, maintenant, elle était à l'aise dans un avion, au point de dormir. De plus, elle n'était pas du tout dérangée: elle était endormie sur l'épaule de son nouveau mari, qu'elle avait épousé deux fois plutôt qu'une.

Magdalena trouvait cela tout naturel de prendre un taxi, puisqu'ils étaient partis de l'aéroport de Juneau, là où leurs parents étaient allés les déposer le lendemain du mariage. Ils n'avaient donc pas prévu que quelqu'un vienne les chercher, et il était hors de question qu'ils prennent un autobus ou un truc dans le genre avec leurs valises, d'autant plus qu'avec sa grossesse, Maggie commençait à avoir du mal à porter la sienne. Par contre, Tristan déjoua ses plans, une fois de plus, en lui disant qu'ils n'avaient pas besoin de taxi, que Maggie devait juste le suivre. Intriguée, elle arqua un sourcil, et le suivi jusqu'à une superbe voiture, la voiture de rêves de Maggie. Elle pensait, durant un moment, que celle-ci appartenait à quelqu'un d'autre, mais non, Tristan lui donna les clés de la voiture en lui disant que c'était la sienne. Après un coup d'oeil aux clés, et à la voiture, elle se retourna vers Tristan et dit:

- Tu n'as pas fait ça !?! Oh elle est magnifique !!

Elle ne put s'empêcher de passer ses bras autour de lui et de se relever sur la pointe des pieds pour l'embrasser, folle de joie.

- C'est merveilleux, je t'adore.

Ensuite, elle revint à la réalité, et se rendit compte qu'elle avait les clés de voiture dans les mains. Sur un ton qui revenait au même que celui d'un enfant, elle demanda:

- Donc ça veut dire que c'est moi qui conduis ? Super !

Elle sauta presque de joie, un sourira ravissant éblouissait son visage. Elle la trouva magnifique se qui me fit plaisir, elle se mis sur la pointe des pieds et m'embrassa ensuite, enfin j'eu m'abaissé légèrement pour qu'elle puisse touché mes lèvres des siennes. Je lui donna les clés, qu'elle pris dans ses mains et elle demanda sur le ton d'un petit enfant, enfin c'était plutot une affirmation. En me disant que c'était elle qui allait conduire, en continuant par une exclamation: "super ".

Je souria et la retena dans son élan, elle était prête a conduire mais il lui était interdit le temps de sa grossesse, non ce n'est pas une nouvelle loi, mais je ne veux pas du tout qu'il lui arrive quelque chose. Je la pris par le bras, la retourna vers moi, abbaissa la tête et posa mes lèvres sur les siennes. Je glissa ma main le long de son bras pour y arrivé au niveau de son poignet et lui ouvris les doigts pour y récupérer les clés.

Je passa mon autre main sur son ventre et le carressa légèrement et j'espérais avoir une "réponse" du bébé, enfin je veux dire un petit coup de pied pour sa maman.

-Non Madame, tant que vous n'auriez pas accouché, vous n'aurez pas le droit de conduire cette voiture.

Je lui fit un énorme sourire, un petit beau narquois. J'ouvrir le coffre y mis nos valises, et ensuite me dirigea du coter de la porte du passagé avant, j'ouvris la porte et lui pris la main pour qu'il s'assois. Je ferma la porte en fesant bien attention de ne pas lui faire mal et fit le tour de la voiture pour aller m'assoir coter conducteur.

Je démarra ensuite, vers notre petit cher nous.

Il n'était pas interdit aux femmes enceinte de conduire une voiture, mais il est certain que plus la grossesse avançait, moins c'était recommandé. Déjà même en prenant l'avion, même si elle était enceinte de seulement trois-quatre mois, Maggie avait pris un risque, un risque qu'elle n'avait pas eu de problème à prendre dans son cas, mais qui aurait pu être plus grave pour d'autres personnes qui supportent plus mal l'avion qu'elle. Par contre, elle se jugeait parfaitement apte à conduire sa nouvelle voiture, qui faisait un peu féminine, mais qui restait assez grande pour installer une famille dedans pour partir en voiture.

- Oh ! C'est pas juste !!

Ce fut la seule chose que Maggie dit pour protester. Il était hors de question qu'elle fasse une scène pour cette fois-ci, surtout qu'ils revenaient de voyage de noces et qu'ils se rendaient à leur nouvelle maison. Maggie était au courant que Tristan avait acheté une nouvelle demeure, plus grande que la précédente, surtout parce qu'ils pensaient au fait qu'ils allaient bientôt avoir un enfant. Par contre, Maggie n'avait jamais su à quoi elle ressemblait, et même si elle avait tenté de le savoir, c'était toujours sans succès. Elle était donc réellement impatiente.

Maggie monta dans la voiture une fois que les bagages furent dans le coffre, et parla peu durant le trajet, trop occupée à regarder tous les petits détails de ce qui était sa nouvelle voiture. Elle était tellement heureuse, il y avait longtemps qu'elle disait à ses parents, et aussi à Tristan bien sûr, qu'elle voulait posséder une voiture dans ce genre. Elle savait depuis longtemps qu'elle voulait une famille, donc une voiture assez grande, sans ressembler aux voitures trop clichées, c'était parfait pour elle. En fait, dans sa vie en ce moment, tout était parfait, il n'y avait rien à redire.

Maggie regarda par la fenêtre quand la voiture commença à ralentir. Ils arrivèrent devant une belle maison, pas trop grande, isolée des autres, avec un grand jardin. Le genre de maison que Magdalena rêverait d'avoir. Elle la trouvait très jolie, et ne vit aucune affiche "À vendre" devant. Elle dit, juste par hasard:

- Regarde comment cette maison est jolie.

Et quand elle vit que Tristan s'engageait dans l'allée de cette maison, elle comprit tout, et ne put s'empêcher de prendre un air surpris et dire:

- Tu n'es pas sérieux !? C'est chez nous ici !?!

Elle n'hésita pas a montré son déssaccord, mais elle monta tout de même du coté passager du conducteur, quand t'a moi, je mis les valises dans le coffre et ensuite parti m'installa du coté conducteur, je pris les clés et mis le contact. Après un petit moment dans la voiture on arriva dans un quartier, je souria puisque c'était le notre a présent, et oui notre maison était dans se quartier sublimissime. Elle me montra du doigt une maison en me disant qu'elle la trouvait joli, je souria et tourna peu après dans l'allé du parking. J'était qu'elle la trouvait jolie parce qu'a présent c'était sa maison, enfin notre maison a elle, notre petit et moi.
Elle me demanda si j'était sérieux et si c'était notre cher nous. Je ne lui répondit rien et sorti de la voiture après avoir retirer les clés, je fit le tour de notre tchou tchou mobile [mdr] et parti lui ouvrir la porte. Je lui tendit la main et lui dit:

-Madame V.Anderson veillez me suivre.

Je pris sa main dans la mienne et la dirigea devant l'entré. Quand je me rendis compte que j'avais oublier les clés de l'entré dans ma veste que j'avais laisser dans la voiture. Je souria, lui fit un petit baisé et parti en courant chercher les clés, et revena de suite.

-A vous l'honneur.

Dis-je en lui tendant les clés. Une fois la porte ouverte, j'entra en premier.

-Je vais te faire visité ton cher toi, enfin notre cher nous a tout les deux, enfin tout les trois.

Je souria, et lui carressa le ventre pendant un instant. Je lui pris a nouveau la main et l'attira au milieu d'une énorme pièce qui rassemblait, la cuisine, le salon, la salle a mangé, une salle ou se trouvait un coin pour notre futur petit bout, et en autre coin avec un billard. Niveau déco j'avasi fait mon possible mais je s'avais tout de même qu'elle était foiré.

-Alors ma chérie t'en pense quoi de notre maison, enfin si on peut appeler sa maison.

Je me placa derrière elle, passa ma main sur son ventre et mon menton sur son épaule. Et observait la grand baie vitrée qui donnait vue, sur le magnifique bois et la piscine qui se trouvais sur la terrasse jute avait l'énorme jardin et dévençait le bois.

Magdalena n'en revenait tout simplement pas. Elle ne pouvait pas croire que cette maison qui se dressait devant eux pouvait être maintenant la leur, à tous les trois, à la petite famille qu'ils allaient former avec l'enfant que Maggie portait. Cette maison, elle était parfaite. Elle était assez grande, mais pas trop. Maggie n'avait jamais voulu d'une grande villa, ou d'une maison gigantesque. Elle était claire, ouverte, et tout simplement magnifique.

Comment exprimait-elle sa joie ? Tout le temps qu'ils se rendaient vers la maison, jusqu'à ce que Maggie tourne la clé dans la serrure de la porte, la jeune femme était là, émerveillée comme un enfant. Elle avait envie de pleurer, mais ne voulait pas gâcher le moment avec des larmes. Ce fut seulement quand Tristan lui demanda ce qu'elle pensait de la maison qu'elle parla enfin, qu'elle réagit. La décoration, ça pouvait toujours se refaire, Maggie n'avait pas vraiment prêté attention à cela en premier. Quand la question fut posée, Maggie dit, sur le même ton qu'un enfant aurait répondu qu'il avait vu le père Noël:

- C'est merveilleux ! Tout est parfait, je suis tellement heureuse !

Maggie sentit la tête de Tristan se poser sur son épaule, et au même moment, elle rajouta, en baissant la voix:

- C'est toi qui me rends heureuse comme ça, je t'aime.

Magdalena pencha la tête vers l'arrière pour avoir un baiser, un baiser simple, mais amoureux, qui voulait tout dire. La jeune femme aurait voulu que ce baiser dure encore plus longtemps, mais à ce moment précis, son téléphone vibra dans sa poche. L'espace d'un instant, elle voulut ne pas répondre, mais en regardant le numéro, elle dit tout de suite:

- Je dois décrocher, j'en ai pour une minute.

Maggie se rendit dans la cuisine pour répondre au téléphone. Elle ne pouvait certainement pas raccrocher la ligne au nez au médecin avec qui elle avait passé ses premiers examens pour savoir si le bébé allait bien et tout. Elle n'avait pas voulu attendre après les résultats avant les mariages, elle avait demandé que le médecin la contacte à son retour de voyage. C'est ce qu'il avait fait, il tombait presque à pic. Le coup de fil ne fut pas long, il lui dit seulement que tout allait bien, que le bébé allait naître environ à l'automne, et, le plus important, que ça allait être une petite fille. Folle de joie, Maggie le remercia et raccrocha, des larmes de joie aux yeux. Elle revint vers Tristan, passa ses bras autour de son cou, et dit:

- Cette maison je l'adore, et j'espère vraiment que tu l'aimes autant que moi, parce que tu vas devoir la partager pour toujours, avec moi, et notre petite fille.

Elle fit un sourire, attendant sa réaction.

Je me demandais vraiment se qu'elle allait dire, son avis sur la maison, ses impressions mais surtout si elle allait aimer vivre ici, avec notre premièr petit bout qui devrait arrivé dans quelques mois, d'ailleur j'ai vraiment hâte de la prendre dans mes bras, en espérant qu'il aura les mimiques de sa mère qui me font telement craqué. Elle me dit qu'elle trouvait sa merveilleux et qu'elle adorait, je souria et posa ma tête sur son épaule et mes mains sur ventre déjà bien arrondie. Et puis la, la phrase qu'elle dit ensuite me toucha, et oui je suis souvent toucher mais quand sa vient de ma petit femme, je ne peut ne pas être touché. Elle pencha sa tête en arrière, et on échangea un simple et petit baisé mais très romantique et amoureux. Je la rendait peut heureuse mais elle me rendait aussi très heureux, depuis que je la connais j'ai changer, enfin j'était pas quelqu'un de méchant avant, mais j'avais quand même changer. Le baisé fut interrompu par une vibration qui venait du portable de Magdalena, elle s'excusa et parti dans une autre pièce. Un baisé plus long m'aurait pas déranger mais tant pis. J'allais surment me rattraper plus tard.

Je sorti de la maison par la grande baie vitré et me dirigea en bord de la piscine, l'eau était déjà propre, elle avait surment du être renouvellé. La chaleur se fesait forte, le soleil était bien présent et pas un seul nuage a l'horizon. Quand je sentis, une charmante demoiselle m'entourer de ses bras et me dire qu'elle trouvais la maison, et qu'elle espérait que je l'aimais aussi parce que j'allais devoir la partager avec elle et notre petite fille. Je souria.

-T'inquiète pas je ne pourrai pas vivre sans toi et notre petite....C'est une fille...oh putin la vache, j'en reviens pas, je viens seulement de capter

Je la pris dans mes bras et la fit tourné.

Maggie voulait vraiment faire la surprise à Tristan quand elle lui apprendrait le sexe du bébé. Elle ne voulait pas régler cela avant ses mariages et le voyage de noces, c'est pourquoi elle avait demandé au médecin de lui faire parvenir les résultats plus tard, à son retour. C'est ce qu'il avait fait, en lui assurant que tout allait bien dans sa grossesse, que la date de la naissance de l'enfant était toujours prévue dans les mêmes endroits qu'annoncés lorsque Maggie avait confirmé qu'elle était enceinte, et la nouveauté était qu'elle savait maintenant qu'ils auraient une petite fille. De son côté, Maggie n'aurait pas eu de problèmes avec un garçon non plus, parce que peu importe le sexe, elle aurait été heureuse, tout simplement.

L'espace d'un instant, Maggie eut peur que Tristan n'ait pas saisi ce qu'elle venait de dire, qu'elle avait dit cela au hasard, ne sachant toujours pas si c'était un garçon ou une fille. Par contre, elle ne lui en voudrait pas, parce qu'il était vrai qu'elle n'avait pas mis cette information en évidence dans ce qu'elle venait de dire. Par contre, elle n'eut pas à répéter, puisque ce fut en le répétant lui-même que Tristan s'en rendit compte, ce qui eut pour effet de faire sourire Maggie. Non seulement parce qu'elle était contente de voir sa réaction, mais aussi parce que cette réaction la fit rire, elle trouvait cela si mignon ! Elle sentit ses pieds soulever de par terre quand Tristan la prit pour la faire tourner, ce qui fit en sorte qu'elle laissa échapper un léger cri de surprise qui se transforma en un rire heureux une fois qu'elle eut touché le sol.

- C'était le médecin au téléphone. Il dit que tout va bien, et en même temps il m'a dit qu'on allait avoir une petite fille.

Elle sourit, et dit, par hasard:

- As-tu une idée pour son prénom ?

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