Oh non c'est pas vrai !? { Tristan }

Trois heures et demie, Magdalena, assise sur sa chaise dans l'amphithéâtre qui servait à donner un cours, commençait à s'impatienter. Pourquoi ? Parce qu'elle ne travaillait pas le soir même. Évidemment, cela la décevait un peu, mais il fallait bien qu'elle pense à ses études parfois. Non, elle avait hâte de rentrer chez elle, parce que comme à presque chaque soir, elle allait pouvoir parler presque une heure au téléphone avec son petit-ami, Tristan. Ce dernier était resté à Juneau pour encore un an avant de venir faire ses études à Brown, tout comme elle. Évidemment, cette séparation avait été difficile, mais ils étaient en train de prouver que les relations à distance, ça marchait vraiment.

Une fois que le professeur annonça que les étudiants pouvaient s'en aller, Maggie se pressa de saluer ses amis qui étaient dans la même classe qu'elle, récupéra ses affaires et se rendit à sa voiture pour rentrer chez elle. L'université n'était pas très loin, mais Magdalena avait vraiment envie de se presser, elle avait très hâte d'entendre la voix de son petit-ami qui lui manquait tellement. Elle gara sa voiture devant l'immeuble où elle habitait et monta rapidement les escaliers. En marchant, elle avait déjà pris ses clés de porte et quand vint le temps de l'ouvrir, elle fit cela en un rien de temps. Quand elle fut entrée, elle ferma la porte et se rendit dans sa chambre, où elle lança son sac et ses clés pour attraper le téléphone et composer le numéro.

Sachant qu'elle en aurait probablement pour longtemps à parler avec Tristan, puisqu'ils n'avaient pas pu s'appeler pendant quelques jours étant donné la différence dans leur emploi du temps, Magdalena s'installa confortablement sur son lit tandis qu'elle atttendait que Tristan réponde, espérait qu'il le fasse rapidement. Quand il décrocha, un sourire éclaira son visage, tandis qu'elle disait:

- Salut toi ! Tu vas bien ? Je suis contente d'entendre ta voix.

Cette couleur signifie que je parle au téléphone

Oh non c'est pas vrai !? { Tristan } 9MJRoknb8eQOi1W

Des retrouvailles tant attendues!!

Aujourd'huit est un grand jour, le jour ou je vais la retrouver, la serrer dans mes bras, pouvoir lui dire a quel point elle m'a manqué, et lui dire je l'aime. A l'instant même je suis dans ma voiture et je viens de passer le panneau Bienvenu A Providence, j'ai souris comme je ne sais quoi. Il doit me rester environ 20 bonne minutes pour faire ma surprise a ma petite chérie Maggie. Je me rappelle encore notre premier baisé a mes 15ans, j'était le plus heureux du monde. Je souria en revoyant se baisé passer dans ma tête, nos moments de rires, de joirs tout comme les moment les plus triste.

Après cinq minutes dans la ville, j'aperçu un fleuriste, je m'arrêta et rentra dans le magazins, je pris un bouquet et le paya ensuite pour repartir dans ma voiture et redémarrer. Un feu rouge, deux feu rouge, mais ils me veulent quoi, en enfin un feu vert, lui il veut bien que je rejoinge ma chérie. Après un petit quart d'heure j'arrive devant son studio. Je souria généreusement, pris le bouquet dans une main et ferma ma voiture a clé de l'autre. Je pris mon portable quand je l'entendis sonné, je souria quand j'aperçu de qui venait l'appellle. Elle me salua et me demanda comment j'allais, et qu'elle était contente de m'entendre.

-Hey ma puce ca va et toi? Ca me fait plaisir de t'entendre.

Sa voix me fit frissoné, je l'adorais.

-Tu fait quoi de beau ma puce?

J'entra dans l'immeuble et attendit un peu et ensuite monta les escaliers pour arriver près de sa porte.

-Ma puce je suis désoler mais je dois te laisser on toc a la porte.

Je toqua au même moment a sa porte.

Quand elle entendait la voix de Tristan et qu'il n'y avait personne excepté elle dans le studio, Maggie devenait presque comme un petit enfant. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire un peu bêtement, de se rouler de tous les côtés sur son lit, parce qu'elle n'était pas capable de garder la même position plus de quelques secondes. Elle sourit de plus belle quand il lui dit qu'il était lui aussi content de l'entendre, et elle lui répondit par la suite. Même si elle semblait un peu stupide quand elle parlait au téléphone avec lui, surtout depuis qu'ils étaient loins l'un de l'autre, elle ne parlait pas de la même façon.

- Ça va très bien.

Maggie cessa de bouger, couchée sur le dos sur son lit, lorsque Tristan lui demanda ce qu'elle faisait de beau. Elle répondit:

- Je viens de rentrer des cours, je ne pouvais plus attendre avant de te parler. Et toi ?

Alors qu'elle venait tout juste de lui poser la question, il lui répondit qu'il devait la laisser parce que ça frappait à la porte. Magdalena était persuadée que c'était chez lui que ça frappait, mais même à cela, elle était un peu frustrée, parce qu'il venaient de commencer à parler, et Maggie avait prévu de discuter avec lui durant au moins une heure, comme à chaque fois qu'ils s'appelaient depuis que la jeune femme était à l'université.

- D'accord, mais s'il te plait rappelle-moi après.

Qui aurait pu croire que ce ne serait même pas nécessaire ? Magdalena raccrocha, mit son téléphone de côté et resta allongée sur son lit jusqu'à ce qu'on frappe à la porte de son studio. La jeune femme fronça les sourcils et se demanda si ce n'était pas Alessandro qui avait oublié sa clé, elle se rendit alors à la porte sans vraiment se presser et ouvrit. À ce moment, plus aucun son sortit de sa bouche quand elle vit qui se trouvait sur le pas de la porte. Cela lui prit quelques secondes avant qu'elle recommencer à bouger, et elle ne dit pas un mot, elle ne fit que se jeter dans les bras de Tristan en pleurant de joie. C'est seulement quand elle fut dans ses bras qu'elle dit:

- Mais qu'est-ce que tu fais là !?

Des retrouvailles tant attendues!!

Elle me demanda de la rappeller plus tard, mais sa serrai ridicule parce que je serrais avec elle et auprès d'elle. Elle sera surment dans mes bras, nos colés lèvres collés l'une et a l'autre.

-Promis Je t'appelle.

J'attendis un moment derrière la porte, au bout de quelques minutes la porte s'ouvris, elle resta la, mobile, bouche bée. Je la regarda intensément, quand tout a coup elle se jeta sur moi tout en pleurant. Je la garda dans mes bras avança et avec mon pied ferma la porte du studio. Je nous fit tourné et ensuite le reposa a terre, je posa mes mains sur ses joues, plongea mes yeux dans les yeux et l'embrassa.

-Tes encore plus jolie qu'avant!

Je lui pris la main et la fit tourné sur elle même, et ensuite la resserra tout contre moi, je la serra de toute mes force. Si vous aviez que j'ai hâte de lui annoncé se que je dois lui dire. J'espère qu'elle en sera ravie. Je lui souria, j'avais les larmes au bord des yeux, elle m'avait telement manqué a un point de ne plus pouvoir contenir mes larmes. Mais ma gourmandise repris le dessus, sa devais faire plus ou moin dix heures que j'avais plus rien mangé.

-Dit ma chérie tu n'aurai pas un petit truc a manger?

Magdalena n'en croyait pas ses yeux. Était-elle en train de rêver ? S'était-elle endormie sur son lit quand elle avait raccroché ? Les émotions qu'elle ressentit quand elle vit que Tristan était là, devant elle, à Providence. Pourtant, il n'était pas prévu qu'il vienne avant au moins un an étudier à l'université ! Magdalena cessa de se poser toutes ces questions quand elle décida de finalement se jeter dans les bras de Tristan, et ce fut quand elle se rendit compte que tout était réel, qu'elle ne rêvait pas, qu'elle se mit à pleurer de joie. Elle était si contente de le voir, de le toucher, se sentir son parfum. Toutes ces petites choses lui manquaient terriblement depuis qu'elle était partie, et elle avait tant rêvé à ces retrouvailles.

Tristan n'avait même pas répondu à sa question, mais Maggie s'en moqua complètement. En fait, le baiser qu'ils échangèrent lui fit complètement oublier ce qu'elle lui avait demandé quelques instants auparavant, parce qu'à présent, elle se sentait comme sur un petit nuage. L'espace d'un moment, elle était seule au monde avec Tristan. Elle ne dit plus un mot, parce qu'elle n'avait plus rien à dire, jusqu'au moment où Tristan lui demanda si elle avait un truc à manger. Certains auraient pu se sentir insultés, mais Maggie se mit à rire. Décidément, il n'avait pas changé ! Cela la fit sourire, parce que pour elle, tous les défauts de Tristan devenaient des qualités, c'était ça, l'amour.

- Pour toi, toujours ! Tu veux quoi ?

Maggie l'embrassa rapidement une autre fois, puis se rendit vers la cuisine, toujours le sourire aux lèvres. Elle ne pouvait pas encore croire ce qui lui arrivait. Une fois que Tristan lui dit ce qu'il voulait, elle le sortit, et retourna vers lui en disant:

- Et maintenant, si tu me disais ce que tu fais ici ?

Des retrouvailles tant attendues!!

Après lui avoir demandé si elle avait pas un petit quelque chose a manger elle éclatta de rire, son rire m'avait telement manqué, que je me suis mis a la regarder amoureusement et a rigoler en même temps. Elle me répondit que pour moi elle avait toujours et me demanda ensuite se que je voulais.

-Un petit morceau de chocolat si tu as.

Elle m'embrassa rapidement a parti ensuite dans la cuisine, elle ouvrit le frigo et me donna de quoi manger, je souria et posa mes lèvres sur les siennes en quise de remerciement. Elle me demanda ensuite se que je fesait ici, je souria et me rapprocha d'elle et lui chuchota au creux de l'oreillle.

-Je peux repartir si tu veut?

Je souria mais redevint sérieux peut après, je la regarda et l'embrassa passionnément.

-J'ai travailler pendant un moment dans un magazin de fringues pour gagner de l'argent comme sa je ne devais rien demander a mon père. J'ai gagner un petit paquet et j'ai mis tout sa sur mon compte, et 1 semaine plus tard, j'ai pris mes affaires et j'ai dis a mes parents que j'avais besoin de ma petite amie auprès de moi, j'ai fait ma valise, je suis monté dans ma voiture et je suis arrivé ici. Et si tu veut bien de moi je resterais un moment auprès de toi.

Je lui souria et parti dans le salon, je me posa sur le canapé et lui tendit la main pour qu'elle vienne me rejoindre. Elle était si belle la dernière fois que je l'avais vu mais la elle était encore plus magnifique.

-Alors que se passe-t-il a Providence?

Quand Tristan lui dit qu'il voulait un morceau de chocolat, Magdalena referma tout de suite le réfrigérateur pour se diriger vers les armoires, là où elle gardait une boîte de petits chocolats avec des formes et saveurs variées. Elle la gardait pour des moments où quelque chose d'exceptionnel arrivait, et là, elle pensait sérieusement qu'elle méritait d'être sortie. Elle la prit donc et la ramena pas loin de Tristan, où celui-ci la remercia avec un nouveau baiser. Quel bonheur c'était de le retrouver !

Magdalena était du genre à être expressive, mais c'était sa manìère de laisser entendre certaines choses. Par exemple, Tristan venait de lui dire que si elle le voulait, il pourrait toujours repartir. Elle se décolla légèrement de lui pour dire:

- Oh non ! C'est hors de question ! Tu m'as beaucoup trop manqué pour que je te laisse partir !

C'était sa façon à elle de dire qu'elle l'aimait et qu'elle ne pouvait plus vivre loin de lui comme ça. Elle était si heureuse qu'il soit venu lui faire cette belle surprise, et il était en train de lui en faire une encore plus belle. Magdalena s'installa sur le canapé près de Tristan tandis que celui-ci lui disait qu'il avait travaillé dans une boutique pendant un petit moment. Cela la surprit un peu, parce que Tristan était du genre à ne jamais manquer de rien, même si la compagnie de son père n'allait pas pour le mieux en ce moment, du moins, aux dernières nouvelles. Ce fut quand elle comprit que c'était pour venir s'installer plus rapidement à Providence qu'un large sourire éclaira son visage et des étoiles se formèrent dans ses yeux. C'était si gentil !

- Évidemment que je le veux ! As-tu trouvé un appartement ? Sinon tu pourrais toujours emménager ici ! Mon colocataire sera sûrement d'accord, nous étions trois il n'y a pas longtemps ! Ce serait si merveilleux !

Magdalena exprima sa joie et le fait qu'elle soit ravie, même émue, par cette idée, en venant se blottir dans les bras de Tristan. Elle voudrait rester ainsi encore pendant un long moment, et maintenant, cela risquait d'arriver, parce que son petit-ami, son seul amour, venait de lui annoncer qu'il était là pour rester un moment. Toujours collée contre lui, Maggie répondit à sa question en disant:

- Oh pas grand-chose. On a eu une soirée où il fallait avoir de belles tenues. Avec l'argent que j'ai gagné à Roller Coaster Riding j'ai réussi à me trouver une robe super jolie et des chaussures, mais il me manquait quelque chose de super important: Un cavalier.

Elle tentait là de lui faire comprendre qu'elle n'avait pas tenté d'aller à cette soirée avec un de ses amis. Pour elle, c'était Tristan, ou personne, et il lui avait manqué plus que tout durant cette soirée où elle n'était pas restée longtemps.

- Et comment va tout le monde à Juneau ?

Des retrouvailles tant attendues!!

A ma demande d’avoir un petit morceau de chocolat, elle referma le frigo pour ensuite ouvrir une armoire et en ressortir un boite sur ment remplie de chocolat. Elle me la tendit je la pris et l’ouvris il y avait pleins de chocolats de toute formes et saveurs. Voulait-elle que je devienne énorme.

-Dit tu veut faire partir mes tablettes de chocolats ?

Ensuite a ma réfléxion comme quoi si elle le voulais je pouvais repartir et me répondit de suite en me disant qu’il en était hors de question parce que je lui avait bien trop manqué. Je souria et lui en m’installant sur le canapé je lui fit signe venir me rejoindre. Suite a mes paroles qui disait que j’allais rester un moment j’aperçu des étoiles dans ses yeux qui me fit sourire, on aurai dit un petit enfant émerveillé. Elle me demanda si j’avais déjà trouver un appartement ou alors que je pouvais toujours emménager cher elle et que son colocataire allait être surment d’accord, en disant que sa allait être merveilleux.

-Enfaite je voulais qu’on reste vraiment ensemble, donc enfaite j’ai déjà pris un appartement et j’espèrais que tu viennes avec moi y vivre pendant mon séjour ici. Mais biensur si tu préfère rester ici, c’est comme tu veux.

Je la serra tout contre moi en espérant qu’elle accepte ma demande de venir habiter avec moi dans l’appartement que j’avais louer. La sentir tout contre moi me fit frissonné. Elle me répondit qu’a Providence il y avait eu une soirée ou l’on devait être bien habillé, et qu’elle avait su s’acheter une robe et des chaussure grace a l’argent qu’elle gagnait a Roller Coaster Riding, je fut pas très rassuré en entendant qu’elle travaillait encore las-bas, j’ai jamais aimer se parc, en plus j’ai lu plusieur articles disant que les construction des attraction étaient très peu fiable. Elle termina sa phrase tout en disant qu’a cette soirée il lui avait manqué qu’un cavalier.

-Tu aurais du m’appeler je s’aurai venu a la soirée ma puce, et sinon niveau financier quand tu as besoin d’argent demande le moi et ne travaille pas a se parc, a chaque fois que tu m’en parle je flippe, qu’il t’arrive quelque chose.

Elle me demanda ensuite si tout le monde allait bien a Juneau.

-Heum mon père est toujours dans son industrie a remonté les pentes, mais sa va de pire en pire, et comme il est toujours dans son boulot, pour les peu de fois que il voit ma mère ils se disputent, donc on va dire que c’est plus ou moins supportable

Maggie se mit à rire de nouveau quand Tristan lui demanda de faire disparaître la boîte de chocolats. Elle savait qu'il était très gourmand, mais là, il semblait résister à l'idée de manger la boîte en entier et ainsi perdre sa forme physique, chose que Maggie ne voudrait surtout pas. Alors, elle prit la boîte, la ferma et la mit sur le côté, assez près, mais pas assez pour Maggie, pour qui le champ de vision était occupé par quelque chose de beaucoup mieux.

Maintenant qu'ils étaient réunis, Maggie voulait passer le plus de temps possible en compagnie de Tristan, et l'idée qu'il emménage au studio lui plaisait bien, jusqu'à ce que Tristan lui dise qu'il avait loué un appartement pour la durée de son séjour à Providence, et il lui demandait maintenant d'emménager avec lui. Cela faisait maintenant cinq ans qu'ils sortaient ensemble, Maggie était persuadée qu'après tout ce qu'ils avaient traversé, emménager ensemble serait seulement merveilleux, même s'il s'agissait d'une étape importante. Au fur et à mesure que Tristan parlait, Maggie sentait son sourire s'élargir, jusqu'au moment où il lui demande son avis sur la question.

- Ce que je veux, c'est qu'on ne se sépare plus jamais comme ça. Tu m'as beaucoup trop manqué. Évidemment que je veux venir vivre avec toi. Je suis si heureuse que tu sois ici, sans toi j'ai eu l'impression d'être coupée du reste du monde.

En gros, Magdalena venait tout juste de dire oui à sa proposition. Si elle n'avait pas été aussi bien dans ses bras, elle serait probablement partie en courant dans sa chambre pour faire ses valises afin que Tristan lui montre son appartement. À la place, ils continuèrent la conversation. Magdalena trouva cela adorable de la part de son petit-ami de lui dire qu'elle aurait pu l'appeler pour venir à la soirée "Be smart and classify". Elle perdit un peu son sourire quand il lui demanda de ne plus travailler à ce parc, parce que ça lui faisait peur, mais elle comprit qu'il disait cela parce qu'il l'aimait, et c'est cela qu'elle retint le plus.

- Je ne voulais pas que tu fasses dix heures de voiture pour cela. En plus il n'y avait rien à manger.

Elle fit un petit sourire espiègle. Elle avait fait allusion au fait que Tristan lui avait demandé quelque chose à manger la minute où il était entré dans le studio. C'était pour le taquiner et non lui faire des reproches, et elle disait cela surtout parce qu'elle l'aimait. Le moment où elle perdit le plus son sourire, ce fut quand il lui parla des problèmes qu'il avait avec sa famille à Juneau, et elle vint se blottir un peu plus creux dans ses bras, comme pour le réconforter, ce qui était son idée principale en fait.

- Mon pauvre amour... Avoir su je n'aurais pas attendu les prochaines vacances pour planifier mon prochain voyage à Juneau.

Maggie avait beau vivre à Providence, mais dès qu'elle avait deux semaines ou plus de libre, elle planifiait de retourner dans sa ville natale pour passer du temps avec sa famille. Cependant l'occasion ne s'était pas présentée depuis un moment, et ça la rendait triste. Pour changer de sujet et égayer un peu la conversation, elle dit:

- Alors, dis-moi un peu... Il est où ton appartement ? Il est comment ? Il va falloir peinturer ?

Des retrouvailles tant attendues!!

A l’annonce comme quoi j’avait déjà trouver un appartement et que je voulais qu’elle vienne avec moi y vivre pendant mon séjour a Providence, son sourire s’agrandissa de plus en plus. Après lui avoir demander son avis elle me répondit que se qu’elle voulait était simplement qu’on ne soient plus séparer, et que je lui avait manqué, elle accepta de venir habité avec moi et termina sa phrase tout en disant que qu’elle était heureuse que je sois la, et quand je ne l’était pas elle avait l’impression d’être coupé du monde. Sa dernière me fit mal, je s’avais se qu’elle endurait, moi aussi j’était dans ma la même situation, je ne répondit rien mais la serra tout contre moi et posa mes lèvres sur son front.

Quand elle m’annonça la soirée qui était passé a Providence, j’aurai aimer avoir été au courant pour venir passer la soirée avec elle, se n’est pas les 20heures de trajets aller-retour qui allait me repousser, bien au contraire. Elle me dit qu’elle ne voulais pas que je fasse 10heure de route et affirma qu’il n’avait rien pour manger. Je souria c’était l’heure de lui faire un petit blague.

-Ouais en effet si rien a manger, égale pas intéressant.

Après lui avoir parler des problèmes de disputes de mes parents et l’industrie de mon père qui coullait de plus en plus, je senti qu’elle se blotti un peu plus dans mes bras, je la serra donc et serra mon visage contre le sien. Elle me dit que si elle l’avait su, elle n’aurait pas attendu ses prochaine vacances pour prévoir un nouveau passage a Juneau. Je souria, elle est vraiment adorable, et tout les jours vous pouvez être sur que je me dit que j’ai de la chance de l’avoir. Son visage s’était atristé légèrement, mais redevint très vite joyeux en parlant de l’appartement, elle voulait s’avoir ou il se situé, comment il était, et si il faillait le peintre et non le peinturer comme elle l’avait dit.

-En plein centre ville, donc facile au accès au magazin pour mangé.

J’afficha un sourire généreux.

-Bon plus sérieusement, pour le moment il y a qu’une cheminé a bois et rien, mais t’inquiète pas pour la peinture tout est déjà fait m’a dit le propriétaire, donc tu ne te fera pas un brin plaisir a m’en mettre partout.

[HJ: Désolée pour l'erreur de français dans "peindre-peinturer", c'est juste que ici, on dit "peinturer" pour les murs d'une maison XD]

Magdalena se sentit mal de ne pas avoir appelé Tristan pour la soirée. Avoir su qu'il serait venu, elle l'aurait peut-être fait et lui aurait offert de passer plus qu'une soirée avec elle, une semaine, un mois, pour toujours si elle le pouvait. Elle se mit à rire quand il lui dit que ce n'était pas intéressant s'il n'avait rien à manger à la soirée. Elle ne sentit pas insultée, mais plutôt amusée. Elle savait bien qu'il ne serait pas venu seulement pour le buffet, mais aussi pour elle, évidemment. Elle rajouta alors, un peu pour le consoler:

- Mais j'ai toujours gardé ma robe. Je peux te la montrer si tu veux.

La jeune femme sourit de plus belle quand Tristan lui dit que son appartement était situé en plein centre-ville. C'était parfait pour elle, parce que c'était près de tout, de l'université comme de Roller Coaster Riding et bien sûr des boutiques, et des restaurants, comme lui fit remarquer son petit-ami, ce qui la fit éclater de rire. Elle avait déjà hâte de le visiter, de voir à quoi il ressemblait, et connaissant Tristan, il n'avait certainement pas pris quelque chose à la légère avec des éléments avec lesquels on devait vivre avec sans vraiment vouloir les désirer.

- C'est super ! J'ai très hâte de le voir !

Magdalena eut un rire léger et joyeux quand Tristan lui dit que la peinture était déjà faite, don celle n'aurait pas l'occasion de lui en mettre partout. C'était arrivé une seule fois, quand Maggie avait décidé de repeinturer sa chambre et avait demander à Tristan de l'aider. Finalement, la chambre n'avait pas été repeinturé, mais c'était plutôt leurs vêtements qui y avaient goûté, parce que Maggie avait cru amusant d'envoyer un coup de pinceau sur Tristan alors qu'il étaient en train de s'occuper chacun d'un mur.

- Oh c'est dommage ! Tu sais comment j'aime peindre et comment j'ai du talent !!

Des retrouvailles tant attendues!!

Elle me répondit qu'elle avait toujours la robe de la soirée qui avait été faite a Providence, je souria les robes de soirée lui va a merveille. Et connaissant ses gout elle a du sur ment prendre une belle et longue robe d'une couleur pastel ou tout le contraire, une couleur très sombre.

-Aller montre moi cette merveille, mais avec toi la portant ma chérie.

Je la voyait déjà dans sa robe avec moi a coter dans un costare.
Quand j'annonce que l'appartement était dans le centre ville facile au accés pour achcter de quoi manger elle se mit a rire. Magdalena annonça qu'elle avait hâte de voir l'appartement, la a vrai dire il était surment pas présentable, il y a avait qu'une cheminé dans le salon, une cuisine équipé et rien d'autre n'était dans l'appartement, mais il offrait une vue superbe grâce au grandes baies vitrées, qui se trouvait dans tout les pièces. Quand je lui annonça que l'appartement était déjà peint,elle me répondit qu'elle trouvait sa dommage et qu'elle ne pourrai pas me montre son talent en tant que peintre. Je souria en pensant a sa remarque, la dernière fois qu'on avaient peint quelque chose ensemble les mur et vide et nos vêtements remplis de peinture.

-Bin si tu veux on fera un atelier peinture, mais sur feuille par sur mes vêtements.

Il fesait assez chaud dans le studio, je me décala un peu et enleva mon pull, je me réinstalla confortablement dans me fauteille et la pris dans mes bras et la serra, Je passa un bras derrière sa tête et posa ma main sur son bras et mon autre main se posa sur son bas ventre, et ma tête se posa sur la sienne, j'approcha mes lèvres du creux de son oreille et lui murmura.

-Tu m'as manqué, je t'aime ma chérie.

Je posa un baisé sur ses cheveux, même l'odeau de ceux-si m'avait manqué, son parfum qu'elle dégageait, la douceur de sa peau et de ses lèvres...toutes ses choses m'avaient bien plus que manquées.

Quand Tristan lui dit qu'il voulait voir la robe qu'elle portait à la soirée, Maggie l'embrassa une dernière fois et se rendit en courant dans sa chambre. Ne l'ayant pas gardée très loin parce que non seulement elle l'aimait beaucoup, mais aussi parce que la soirée avait eu lieu il n'y a pas très longtemps, elle ne prit pas de temps à la prendre et à se changer. Elle retira même ses chaussures pour trouver les escarpins qu'elle portait pour aller avec. La seule chose qu'elle ne fit pas, c'est bien sûr se maquiller, et elle prit même le temps de relever ses cheveux en chignon, même si c'était beaucoup moins travaillé que lorsqu'elle s'était coiffée pour la soirée. Quelques minutes plus tard, elle sortit de sa chambre avec sa robe, et elle dit:

- Alors, tu en penses quoi ?

Cette robe, à la fois simple dans son apparence, complexe dans sa fabrication, Magdalena l'avait trouvée dans une boutique où, heureusement, elle était à rabais, parce que sinon, elle n'aurait même pas eu l'occasion de se l'offrir. Pour plaisanter un peu, elle marcha un peu comme un mannequin et fit même un tour sur elle-même, prenant une pose une fois qu'elle fut de dos. Après avoir esquissé un sourire marquant le fait qu'elle plaisantait plus qu'autre chose, elle retourna sur le canapé. Elle ferma les yeux, profitant de cet instant, le gravant dans sa mémoire.

- Moi aussi, je t'aime.

Maggie ne cessait de le répéter quand il se parlaient au téléphone, mais maintenant, elle avait la chance de lui dire en personne. Quel beau sentiment, elle en avait des frissons. Magdalena releva doucement la tête et alla poser ses lèvres sur celles de Tristan pour qu'ils échangent un long baiser doux et passionné.

Des retrouvailles tant attendues!!

Après avoir lui demander de me montrer la robe, elle se leva et parti dans sa chambre, elle en revint un peu plus tard vêtu d'une robe courte noir et doré, des escarpins qui allaient a merveille avec les robes et ses cheveux remonter en forme de chignon qui lui va a merveille. Elle me demanda se qu'en je pensais, mes yeux la regarda de haute en bas et était sublime.

-Tu..tu es superbe.

Elle vint se blottir dans mes bras, je la serra fort contre moi et l'entoura de mes bras. Elle me répondit je t'aime au mieux. Je tourna mon visage vers le sien au même moment ou elle leva la tête et captura mes lèvres pour un long baisé. Je stoppa se baisé en me rapellant que j'avais déposer le bouquet de roses a l'entré.

-Attend ma puce, j'arrive.

Je parti quasiment en courant a l'entré du studio, et revint tout en ayant mes deux mains dans le dos, je me mis debout en face d'elle et sorti le bouquet juste devant-elle.

-C'est pour toi mon ange.

Je lui tendit et l'embrassa mais le moment fut interrompus par mon portable qui sais mis a sonner.

-Je reviens.

Je parti dans la cuisine et décrocha mon portable.

-Ouais allo...c'est fini sérieux déjà...Merci les gars...on va surment mangé et ensuite on partira a l'appart...ouais merci a plus

Je souria généreusement, tout mes projets pour se soir était mis en place, je retourna dans le salon, me réinstalla dans la fauteuille et la serra tout contre moi.

-Ma puce un chinoix te convient pour manger?

Maggie ne prit même pas la peine de retourner se changer une fois que Tristan l'eut vue avec sa robe et lui ait dit qu'elle lui allait bien. Elle avait simplement esquissé un sourire, puis elle était retourner s'installer à ses côtés, ayant l'impression que les minutes qu'elle avait passé à aller se changer et faire son petit défilé avaient été froides tout d'un coup, parce qu'elle n'était plus dans les bras de son amoureux. Presque au moment où elle revint sur le canapé, Tristan se leva à son tour pour se rendre à l'entrée du studio en courant, ce qui fit en sorte que Magdalena arqua un sourcil pendant un moment, son air intrigué se changeant en air ravi quand il lui montra le bouquet de fleurs, disant que c'était pour elle.

- Oh merci ! Elles sont magnifiques ! Ce sont mes préférées !

Magdalena les prit alors dans ses mains et répondit avec plaisir au baiser de Tristan, jusqu'à ce qu'elle entende une sonnerie de téléphone retentir dans le studio. Ce ne pouvait pas être le sien, parce qu'il était trop loin pour qu'elle l'entende aussi bien. Ce fut Tristan qui lui demanda de l'attendre pour qu'il décroche son portable et réponde. Pendant ce temps, Magdalena prit les fleurs et alla chercher un vase qu'elle remplit d'eau pour les mettre dedans. Elle revint au salon au même moment où Tristan raccrochait et venait encore une fois se coller contre elle.

- Tant que je mange avec toi, tout me convient.

Elle sourit, puis lui donna un baiser sur la joue, avant de dire:

- Il y a un excellent restaurant pas loin d'ici. On peut y aller, ou peut-être le commander ?

Des retrouvailles tant attendues!!

En lui donnant les fleurs, elle me remercia tout en disant que c'était ses préférés, j'était content qu'elle les trouve magnifique mais ses fleurs ne la dépasser pas dans la beauté, Magdalena est superbe et quoi que se soit d'autre n'est plus belle qu'elle. Elle me répondit ensuite que tant qu'elle mangeait avec moi sa lui convenait. Je souria quand t'elle me souria et m'embrassa sur la joue, mais je tourna mon visage et posa mes lèvres sur les siennes, j'approfondit le baisé, ou nos deux langues s'entre-mêlèrent. Elle me dit ensuite qu'elle connaissait un excelent restaurant pas loin et qu'on pouvait allez ou alors y commander.

-Je préfère commander comme on pourrai manger ton lit et parler de tout et de rien comme avant.

On avait pris l'habitude a l'époque ou elle était encore a Juneau, de commander un soir par semaine et manger sur son lit ou le mieu et ensuite parler tout la nuit, a chaque fois on pouvaient être sur d'être morts de rire. Je me leva pris un morceau de feuille du bloc qui se trouvait sur la table et pris aussi un bic.

-Dit moi tu veut quoi?

Elle me répondit et je nota sur la feuille, je l'embrassa et ensuite pris a nouveau mon portable pour commander, je commanda se que voulait Mag' et ensuite je commanda pour moi, je remercia l'homme qui avait répondu.

Un quart d'heure plus tard, on sonna a la porte, je me leva et parti ouvrir, c'était déjà le livreur, je le paya et lui laissa un pour boire assez généreux. Je ferma la porte et revena dans la salon, je parti dans sa chambre et l'entendit tranquillement en préparant son diner.

Revenir à leurs vieilles habitudes, quoi demander de plus !? Depuis qu'elle était arrivée à Providence, tout avait changé dans son mode de vie, rien ne ressemblait à ce qu'elle faisait à Juneau, et cela lui manquait. Progressivement, elle avait commencé à intégrer des choses de chez elle dans son quotidien, comme l'habitude de manger sur son lit, en parlant avec Tristan - au téléphone bien sûr -, ou bien d'avoir même des peluches dans sa chambre qu'elle gardait même si elle ne les utilisait pas. Par contre, rien ne ferait en sorte qu'elle se sente chez elle, et si elle pouvait retrouver des vieilles habitudes, peut-être serait-elle un peu mieux ?

- C'est une excellente idée !

Magdalena prenait toujours la même chose dans les restaurants chinois, ce ne serait donc pas compliqué à choisir, d'autant plus qu'elle connaissait le restaurant en question. D'ailleurs, c'est elle qui sortit d'un botin le numéro à Tristan qui composa de son téléphone et appela. Tandis qu'il était assis sur le canapé, Maggie se rendit derrière lui et entoura ses épaules de ses bras, appuya sa tête sur son épaule droite tandis qu'il lui demandait ce qu'elle voulait, elle dit:

- Des rouleaux de printemps.

Cela prit peu de temps avant que le livreur sonne à la porte et apporte leur commande. Il était vrai que ce qu'ils avaient demandé n'était pas très imposant et de plus, le restaurant était à quelques rues du studio. C'est à ce moment que Maggie avait gardé sa robe de soirée, et elle dit:

- Je vais aller me changer.

Elle alla prendre ses affaires dans sa chambre et se rendit dans la salle de bains tandis que Tristan était parti avec le repas dans la chambre de Magdalena. La jeune femme enleva sa robe et remit le jean et le t-shirt qu'elle portait avant de montrer sa robe à l'homme de sa vie. Ensuite, elle la mit sur un ceintre dans la salle de bains, elle pourrait toujours la ranger plus tard. Elle se rendit dans la chambre et s'assit les jambes croisées sur le lit, en face de Tristan.

- Alors, bonne appétit !

Des retrouvailles tant attendues!!

Mon idée de refaire comme avant et de manger dans son lit et parler de tout et de rien fut approuvé par Magdalena. Elle me répondit qu'elle voulait des rouleaux de printemps et s'installa derrière moi et entoura mes épaules de ses bras. Peu après arriva le livreur sonna la porte, je me leva et partis ouvrir et en revenant ma chérie me dit qu'elle partait se changer je lui souris et parti dans ses chambre, et comme a nos habitude j'installa tout sur son lit, elle revint un moment plus tard étant habiller de la façon ou elle m'avait accuillit. Elle s'installa en face de moi tout en croissant ses jambes, je souria me pencha et l'embrassa.

-Bonne appétit a toi aussi ma puce.

J'ouvrir mon plat et mangea avec mes doigt, moi et la baguette sa fait deux. J'ai jamais su m'en servir malgrès le nombre de fois ou Magdalena m'avait expliquer comment faire. Ses rouleaux de printemps m'intrigait, je me redressa légèrement pour pouvoir voir se que sa donnait en nourriture, et je dois dire que sa avait l'air vraiment d'être bon. Avec mes doigts donc je pris a nouveau dans mes mains pour ensuite les mettres dans ma bouche. Pour beaucoup de personnes être riche consiste a manger proprement avec tout les couteaus et fourchette possible, moi j'était plutot a manger avec mes doigts, je m'enfous royalement des avis des gens pour se qui compte c'est de bien manger.

-Dit ma puce c'est quoi tes rouleaux de printemps?

A peinne après cinqs minutes, mon plat était complètement vide, j'était un très gros mangeur, tout mes proches les s'avaient et préparaient deux fois plus a mangé que d'habitude. Je penssa toute de suite a la fin de soirée, j'espère que sa allait lui plaire.

-Dit ma puce quand tu auras fini de manger on partira, d'accord?

Je souria généreusement, un matelas avait été posé à terre une couette et des cousins assortis était posé soigneusement sur celui-ci qui était posé en face d'une cheminée en bois qui était allumer, quelques pétales de roses était posées sur le sol et des bougies allumés tout autour. Je nous imaginais déjà dans les bras de l'un et de l'autre. Mais je fut resortit de mes pensés quand le lit bougea.

Magdalena ouvrit la boîte qui contenait les rouleaux de printemps et prit également le petit gobelet qui contenait une sauce sucrée qui allait très bien avec ce repas. Les rouleaux de printemps étaient beaucoup trop gros pour que Maggie puisse les manger avec des baguettes, et beaucoup trop fournis à l'intérieur pour utiliser des ustensiles. Le seul moyen qui lui restait en fait, c'était de le manger avec ses doigts, et elle n'y voyait aucun problème à cela, d'autant plus que Tristan faisait de même, et que ce n'était pas la première fois qu'il la voyait manger un plat chinois.

- C'est un rouleau avec de la salade, des carottes, des crevettes et du riz. C'est très bon quand tu le trempes dans la sauce, tu veux goûter ?

Cela faisait cinq minutes qu'ils avaient commencé à manger et pourtant, Tristan avait fini son repas. Ce n'était pas surprenant pour Maggie, qui le connaissait bien et qui savait qu'il mangeait beaucoup, mais s'ils voulaient commencer à discuter de tout et de rien en mangeant, c'était un peu mal parti. De son côté, Maggie avait terminé de manger son premier rouleau de printemps, donc avait mangé la moitié de son repas.

- D'accord. J'ai bien hâte de voir ce qui te presse autant.

Maggie fit un sourire espiègle. Elle trouvait cela un peu étrange que Tristan ait tout installé pour qu'ils y restent seulement quelques minutes. Elle avait compris qu'il avait quelque chose derrière la tête, mais elle ne posa pas de questions, même si elle était vraiment curieuse. Elle voulait lui laisser le bonheur de lui faire une surprise, elle se refusait de tout deviner par elle-même. Toujours en prenant son temps, mais en accélérant quand même un peu, elle termina son repas et dit alors, tandis qu'elle refermait la boîte qui contenait ses rouleaux de printemps:

- Voilà, j'ai fini, on peut y aller !

Des retrouvailles tant attendues!!

Elle me répondit que son repas était enfaite des rouleaux avec de la salade, des carottes des crevettes et du riz et que c'était très bon quand on le trempais dans la sauces qui l'accompagne, elle me demanda si je voulais gouter. Je souria me redressa légèrement et mordilla dans un rouleau qu'elle tenait dans sa main.

-Heum pas mal, mais tes lèvres son encore plus meilleures.

Je l'embrassa vite fait, et ensuite m'allongea un peu sur mon coter, mon coude poser sur le lit et ma tête retenue par ma main, je la regarda, elle me dit qu'elle avait hâte de voir se qu'il me pressait autant, je ne répondit qu'avec un sourire et un petit regard coquin. Je restais la devant-elle qui terminait de mangé, j'était bien la occupé a l'observer de revoir ses mimiques quand t-elle mange. Toutes ses petites choses qui m'on fait craquer. Quand tout a coup elle ferma la boite ou se trouvais les rouleaux, et me dit qu'elle avait terminé et qu'on pouvait y aller.

-Parfois

Avouais-je tout en sautant du lit, je pris sa main et posa un baisé dessus. Je plongea mon regard dans le siens.

-Si tu dois te préparer vas-y, je vais t'attendre dans le salon.

Je partis joyeux dans le salon, j'allais dormir avec celle que j'aime. Une fois que je fut rejoint par Magdalena je lui fit enfiler sa veste et lui ouvrit la porte. Une fois dehors j'ouvrir ma voiture de loin et une fois près de celle-ci je lui ouvris la portière et la referma une fois rentré. Je fis le tour et rentra a mon tour dans la voiture. Je mis le moteur en marche et démarra.

Après un moment on arriva devant l'immeuble ou se trouvais le loft que j'avais loué.

Magdalena ne put s'empêcher de laisser échapper un léger rire quand Tristan lui donna un nouveau baiser après avoir goûté à son rouleau de printemps. Ensuite, elle continua à manger, et sachant que son petit-ami attendait après elle, couché sur le côté, elle fit exprès d'exagérer un peu les mimiques qu'elle faisait d'habitude, comme quand elle prenait une bouchée, elle hochait la tête sur le côté en mâchant comme pour faire passer le temps, alors qu'elle tentait de se presser, ne serait-ce qu'un peu. Chez elle, à Juneau, Maggie vivait dans une grande famille, les repas duraient donc lontemps, elle n'avait pas l'habitude de manger rapidement.

Par contre, Maggie ne pouvait pas manger éternellement, d'autant plus que des rouleaux de printemps, c'était loin d'être la chose qui était la plus longue à manger. Et finalement, en voyant que Tristan semblait très impatient qu'il parte, elle décida finalement de prendre une plus grosse bouchée à la fin dans le but de terminer plus rapidement, et cela ne prit pas de temps avant que Tristan se lève, Maggie à sa suite, et lui demande si elle devait se préparer, ajoutant qu'il allait l'attendre dans le salon. Elle dit:

- Juste un instant, je vais me mettre des chaussures.

Depuis qu'elle avait enlevé les souliers qu'elle avait porté à la soirée, Maggie était restée pieds nus jusqu'à ce moment, et il n'était pas question qu'elle sorte ainsi ! Elle s'empressa de prendre des chaussures simples et confortables, des Converses noires, dans sa garde-robe, les enfila, les laça et se rendit dans le salon, là où elle avait laissé sa veste qui était idéale pour la température à l'extérieur. En fait, elle n'eut même pas besoin de la mettre elle-même, puisque c'est Tristan qui s'en occupa, lui arrachant ainsi un sourire. Ensuite, ils partirent dans la voiture, et durant tout le trajet, Maggie regarda par la fenêtre, essayant de voir où Tristan l'emmenait.

Quelques minutes après, ils étaient arrivés au centre-ville. Maggie savait que son amoureux lui avait mentionné que son appartement se trouvait là, et puisqu'ils étaient devant un immeuble, elle comprit qu'ils se rendaient là, ce qui eut pour effet de placer un air intrigué sur le visage de Maggie, qui dit:

- Tu n'avais pas dit qu'il n'y avait que des murs et un foyer dans ton appart' ?

Ce n'est pas qu'elle n'était pas contente de le visiter, mais cela l'intriguait un peu, parce qu'un moment avant, Tristan lui avait dit qu'il n'y avait rien à voir.

J'ai poster la suite dans mon loft Wink