Une nuit avec elle!!! [Magdalena]

Les retrouvailles sont toujours les plus émouvantes

Une fois arrivé sur le lieu ou j'emmenais Magdalena elle me demanda si je ne lui avait pas dit qu'il y avait que des murs et un foyer dans le l'appartement, je souria. Je ne lui répondit rien, mais je pris sa main et nous fit avancer. On rentra dans l'entré je la pris dans mes bras et approcha ma bouche au creux de son oreille pour lui chuchotter quelques mots:

-Je t'aime et tu m'as telement manqué. Et tu comprendra pourquoi je te disait que l'appartement est vide.

Je la repris a nouveau par la main et on pris l'assenceur pour accéder au dernier étage, une fois arriver, au 24ième étage on sortit de l'ascenseur et on se dirigea vers la porte. Je pris les clés qui se trouvait dans ma poche et les donna a Magdalena, je voulais que se soit elle qui ouvre cette porte, la porte qui ouvrira notre paradis, notre nid d'amour.

-Tient ma puce ouvre la porte.

Elle ouvra la porte, j'espèrais de tout coeur que sa lui plairait, je la regardait je voulais voir sa réaction qu'elle allait avoir. Comme j'avais prévu un matelas avait été placer juste en face de la cheminée de bois, des bougies un peut partout allumés par mon équipe de choc [ mdr] et des pétales de roses étalés un peu partout dans la pièce. L'ambiance idéal pour lui demander se que j'avais en tête. Je me mis derrière elle et entoura sa taille de mes bras et posa ma tête sur son épaule.

-Alors mon ange, comment trouve tu notre appartement?

Magdalena n'eut pas de réponse à sa question, ce qui fit en sorte qu'elle était encore plus curieuse de savoir où Tristan voulait l'emmener, et par le même fait un peu agacée. Évidemment, elle n'en voulait pas à Tristan, elle savait qu'il voulait lui faire une surprise, sur ce genre de chose, Maggie était perspicace pour voir que quelqu'un lui préparait quelque chose, mais pour savoir c'est quoi, c'était là son point faible. À ce moment là, elle n'avait pas envie de se questionner, elle voulait juste passer du temps avec son amoureux, et pour elle, c'était tout ce qui comptait.

Si elle ne voulait pas deviner ce qui allait se passer, Maggie avait au moins deviné que Tristan les emmenait à l'appartement qu'il avait loué le temps qu'il serait à Providence, qui serait long, espérait Maggie. Tandis qu'ils attendaient que l'ascenseur soit rendu à l'étage demandé, soit le dernier selon ce que Magdalena avait pu voir, la jeune femme resta collée contre Tristan en souriant, mais en gardant toujours son air curieux, comme un enfant qui a hâte de voir son cadeau d'anniversaire, surtout quand celui est gros, très gros.

Maggie prit la clé que Tristan lui tendit et se retourna vers la porte en souriant. Elle aimait beaucoup cette façon de sortir de l'ordinaire. Maintes fois, Magdalena avait parlé des gens qui se faisaient bander les yeux avant de voir quelque chose, Maggie avait le droit à quelque chose qui lui plaisait tout autant, si ce n'était pas plus. Elle tourna délicatement la clé dans la serrure et ouvrit la porte prudemment, comme si elle craignait que quelque chose sorte de l'appartement. Il ne suffit même pas quelques pas pour que Magdalena cesse de marcher et regarde devant elle, bouche-bée, émerveillée. Il n'y avait pas de meuble, juste un matelas avec des bougies et des roses, tout cela installé devant le feu de cheminée. C'était si romantique ! Magdalena n'aimait pas l'avouer, mais elle avait ce côté un peu "princesse" qui aimait les choses comme cela. Il fallut que Tristan vienne mettre ses bras autour de sa taille pour qu'elle ait l'impression de se réveiller, parce qu'elle se sentait vraiment dans un rêve.

- Il... C'est tellement beau ! J'ai l'impression de rêver !

Évidemment, niveau beauté, rien ne pourrait dépasser Tristan. Ensuite, Maggie se retourna et jeta ses bras autour du cou de son amoureux.

- Je t'aime tellement, je pense qu'il n'y a pas de mots pour le décrire.

Ensuite, elle se leva sur la pointe des pieds pour qu'ils échangent un long baiser amoureux.

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Après avoir ouvert la porte, elle été resté figée a l'entrée de l'appartement, c'est seulement après l'avoir prise dans mes bras qu'elle me dit que c'était telement beau et qu'elle avait l'impression de réver, je ne lui répondit rien mais l'embrassa dans le cou. Quand tout a coup elle se retourna et sauta a mon cou, se qui me fit presque tombé, elle me dit qu'elle m'aimait et qu'il n'y avait pas de mots pour le décrire, elle se mit sur la pointe des pieds pour pouvoir atteindre et m'embrasser. Pour rien au monde je voulais changer de moment, j'était si bien la avec ma chérie dans mes bras et nos lèvres rassemblées. Entre deux baisés je lui demanda tout de même:

-Alors comment trouves-tu notre petit nid d'amour?

Je lui pris la main et la dirigea vers les grandes fenêtres, et je dois avouer que moi-même je trouvais la vue bien plus que magnifique, on pouvais voir tout le centre de ville et la belle vue qui s'offrait a nous au loin. Je me replaça derrière elle, mes mains se posa sur son ventre et ma tête sur son épaule.

-C'est magnifique.

Je posa un baisé dans son cou.

-Je reviens de suite ne t'inquiète pas.

Je partis vite fait dans la seul chambre que contenais l'appartement et vérifia que cette toute petite boite rouge se trouvais toujours au même endroit que je l'avais posé, je l'ouvris et souria. Je la referma aussitot et la mis dans ma poche de mon jean's. Je retourna auprès d'elle dans le salon. Je sais qu'on est vraiment jeune pour s'engager a se point la, mais sa fait cinq ans qu'on est ensemble et sa allait faire presque qu'un an qu'on était séparer qu'on se voyait pas, mais malgrés cette distance, notre amour qu'on portait l'un pour l'autre avait pris le dessus. Je suis vraiment sur que c'est elle la femme de ma vie, la mère de mes futurs enfants enfin de nos futurs enfants. Une fois rentré dans le salon, je regarda Magdalena, même ses formes m'avait manqué, elles sont parfaites, tout m'avait manqué.

Magdalena n'avait jamais eu aucun doute. C'était Tristan, l'homme avec qui elle voulait passer sa vie. C'était ce que toutes les filles se disaient quand elles commençaient à sortir avec un garçon, comme Maggie l'avait fait, mais maintenant, cinq ans plus tard, elle le croyait toujours. Ces petites attentions ne faisaient que confirmer sa pensée, et la touchaient beaucoup, évidemment. Avec Tristan, elle se sentait toujours comme une véritable petite princesse, une princesse qui avait beaucoup de chance d'être avec un garçon extraordinaire comme son amoureux.

- Je l'adore ! Tout est parfait !

Quand elle disait que tout était parfait, elle parlait de la situation du loft, de l'ambiance, et surtout de la compagnie de Tristan, qui valait beaucoup plus que tout. Ils auraient pu se trouver dans n'importe quel endroit, et pour Maggie, tandis qu'ils étaient ensemble, amoureux, le reste l'importait peu. Magdalena fut encore plus impressionée par la vue qu'ils avaient de la fenêtre. Quand elle sentit les bras de Tristan passer encore une fois autour d'elle, elle ne put s'empêcher de placer ses bras par-dessus les siens et déposer sa tête collée sur celle de Tristan pour admirer la vue. Maggie aurait pu passer des heures à regarder tous les petits détails qu'elle présentait.

- Oui, c'est vraiment magique.

Ce moment magique ne dura que quelques instants, parce que Tristan se détacha pour dire qu'il revenait. Tiens, encore une autre surprise ?! Maggie se retourna pour regarder Tristan partir vers la seule chambre qu'il y avait dans l'appartement. Encore une fois, Maggie laissait venir ce qui arrivait, elle ne chercha donc pas à voir ce que Tristan faisait. Elle préféra continuer regarder la vue du coin de l'oeil, attendant son retour dans le salon. Une fois qu'elle le vit apparaître de nouveau, elle fit un large sourire.

- Je suis si heureuse que tu sois là, tout est parfait, je n'aurais pas pu rêver mieux.

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Mon visage afficha un sourire quand j'entendit qu'elle me dit qu'elle adorait l'apartement, et que tout était parfait. Et ensuite elle affirma que la vue que nous donnais l'appartement était magnifique, je souria, la fit tournée vers moi et je pris sa main, la fit tournée sur elle-même pour ensuite la serrer tout contre moi. Mes mains étaient posées sur ses hanches et mes lèvres se rapprochèrent des siennes, celles-ci finissent pour finir a se touché pour un long et passionné baisé.

Après l'avoir quitter un moment, quand je revins elle me souria généreusement, et me dit quelle était heureuse que je sois la et qu'elle n'aurai pu rever mieux. Je souria, je la pris dans mes bras posa ma main sur sa tête et me dirigea vers mon torse, au niveau de mon coeur.

-Il bat pour toi mon ange.

Je releva ensuite son visage avec l'aide de mes doigts et posa mes lèvres sur les siennes. Ensuite je lui pri la main et l'emmena vers le lit devant la cheminée qui était allumée, je la fit se coucher et me coucha a coter d'elle, mon coude sur le lit, ma tête posa dans ma main, je l'observa pendant un moment. J'avais envie de faire ma demande mais dans un sens j'avais peur de sa réponse, même si celle-ci serait un non, se ne serait point grave, dans un sens elle aurait raison parce que nous sommes encore jeunes, aucun de nous deux a la vingtaine. Mais un jour en me levant j'avais cette idée en tête et en fesant du shopping avec mon meilleur ami, j'était passer devant une bijouterie ou j'avais complêtement craquer.

-Mon ange, nous deux sa fait 5 cinq ans, et je suis sur que tu es la femme de ma vie, celle avec qui j'aurai des enfants, celle qui me verra mourrir quand je serais vieux et tout ridé. Magdalena je t'aime plus que tout au monde, je suis prèt a aller n'importe ou, la ou tu veut, Je veux faire de toi la plus heureuse du monde.

Je la regarda droit dans les yeux. Et je pensa tout a coup a la bague qui se trouvait dans ma poche et que j'avais oublier.

-Oups j'ai oublier un truc.

Je sortis la petite boite rouge. Je la regarda.

-Magdalena Van Dike Lewis veut-tu m'épouser?

J'ouvris la boite devant-elle. Mon dieu c'est fait, merci elle m'a pas encore gifflé.

Magdalena sourit alors qu'elle avait la tête appuyée sur le torse de Tristan, qui lui disait que son coeur ne battait que pour elle. Cela la fit sourire légèrement, mais pourquoi avait-elle l'impression qu'il était soudainement stressé, nerveux ? Elle tenta de ne pas s'inquiéter, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de se demander ce qu'il avait pu faire dans la chambre quelques instants plus tôt. Elle restait tout de même curieuse, voire inquiète, parce qu'elle n'aimait pas sentir les autres nerveux, et surtout pas Tristan. Elle tenta de ne pas s'en faire tandis qu'ils se dirigeait vers le matelas installé devant le foyer allumé. Magdalena se coucha sur le dos, la tête tournée vers Tristan en le regardant en souriant.

C'est au moment où Tristan commença à faire son discours que Maggie comprit ce qu'il était allé faire, ou du moins, elle commençait à supposer des choses. À ce moment, il y a tant de choses qu'elle aurait voulu répondre, mais elle ne dit rien, elle garda tout pour elle. Oui, elle aussi voulait passer sa vie avec Tristan, elle voulait avoir une ribambelle d'enfants avec lui, dans une grande maison où ils allaient vivre heureux, loin de tout problème. Et elle n'était pas capable de s'imaginer que Tristan soit tout vieux et ridé, c'était peut-être un peu trop négatif pour elle. Plutôt que de dire un truc du genre que Tristan que même en vieillissant, il resterait toujours le plus beau pour elle.

Maggie cessa de penser à ce qu'elle aurait pu dire quand Tristan prononça ses derniers mots, elle se releva même sur ses coudes, l'air surprise. Elle ne pensait plus, elle était touchée par ce que Tristan venait de dire. Elle reprit conscience avec la réalité quand il lui dit qu'il avait oublié quelque chose. Décidément, c'était un classique chez Tristan, oublier un détail - mais Maggie trouvait cela vraiment mignon -. Cette fois-ci c'était un détail assez important ! Magdalena écarquilla les yeux quand elle vit la boîte rouge et entendit Tristan la demander en mariage. Elle sentit alors le rythme de son coeur s'accélérer, et progressivement, sa bouche, qui s'était grande ouverte de surprise, se transforma en sourire ravi.

Il lui fallut quelques secondes où elle garda le silence, comme pour réfléchir. D'accord, ils étaient jeunes, ils n'avaient pas encore vingt ans, et certains pourraient penser que c'était une décision prise sur un coup de tête, mais en y pensant, Maggie se rendit compte que non, cela faisait du sens. Cela faisait cinq ans qu'ils étaient ensemble, et tous les deux voulaient une seule chose, passer l'éternité l'un près de l'autre. Ensemble, ils avaient traversé des épreuves, comme la jalousie, et même la distance durant presque un an. Il était impossible qu'après tout cela, leur couple s'effondre, parce qu'il était solide comme jamais, et le resterait. Avant que sa réponse soit claire dans son esprit, même si ce l'était depuis longtemps, Maggie sembla avoir laissé passer de nombreuses secondes précieuses, alors qu'en fait, il n'y en avait eu que quelques unes.

- Oui Tristan, oui je veux t'épouser !

Des larmes de bonheur commencèrent à rouler sur ses joues sans qu'elle puisse y faire quoi que ce soit. Elle regarda la réaction de Tristan, puis jeta un nouveau coup d'oeil à la bague, qui était magnifique. Elle ressemblait à celles que les filles recevaient dans les films romantiques, ceux que Maggie adorait écouter sans que personne n'en sache rien, c'était son petit plaisir coupable, ses petits rêves, qui devenaient réalité.

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Après avoir fini de parler elle se redressa sur ses coudes d'un air surprise. Mais très vite je me rattrapa en sortant la boite de la bague de ma poche et l'ouvrit et la demanda ensuite en mariage. Rien, aucune réaction pendant quelques petites secondes, jusqu'au moment ou elle me répondit que oui elle voulait m'épouser. A se moment la mon coeur se mit a battre de plus en plus fort encore, j'oublia presque de prendre la bague pour la lui passer au doigts, mais je me repris très vite. Sur le coup de l'émotion quelques rire se fit sortir de ma bouche, des rires émus, je ne sais comment vous les expliqués. Je la regarda dans les yeux, souria et ensuite baissa la tête vers la bague, je la pris et ensuite de mon autre main pris la sienne, je la porta d'abord a ma bouche pour lui posé un baissé et ensuite, je glissa la bague le long de son doigt.

-Alors comme sa tu veut me supporté pour le reste de ta vie?

Je lui souria, je me mordilla la lèvre inférieur, je pencha vers elle et la fit tomber dos au matelas, je captura ses lèvres pour de longs baisés passionnés. Je posa ensuite ma main sur sa joue, sa peau si douce m'avait telement manqué, ses petits mimique de la vie quotidienne. Et s'avoir que pendant toute ma vie entière j'allais pouvoir les voirs, les revoirs, et les re-revoir, me réjouissait. Je me coucha sur le dos, la pris dans mes bras, sa tête sur mon torse, mon bras passant derri§re sa nuque pour que ma main puisse arriver a la sienne, nos dix doigts assemblés s'entre-mêlerent.

-Mon dieu si tu s'avait, comment j'ai stresser pour cette soirée, que tout sois près de notre cher nous, se que j'allais te dire pour te demander en mariage.

Je posa un baisé sur son front.

-Mon ange je te promet de t'offrir une superbe maison, des animaux, des petits poissons rouges, et des millions d'enfants qui courront partout dans notre maisons.

Je tourna mon visage vers le sien pour la regarder, je plongea mon regard dans le sien, je me rapprocha et posa un énième baisé de la soirée sur ses lèvres.

Maggie fit un geste furtif de sa main pour cesser ses larmes de couler. Elle n'était pas triste, bien au contraire, et elle était très heureuse, et il était hors de question que Tristan ait des doutes à ce sujet tout simplement parce qu'elle pleurait. Elle fut chanceuse, parce qu'elle ne sentit plus les larmes couler. La seule chose qui pouvait exprimer son bonheur à ce moment précis, c'est le large sourire qui éclairait son visage ainsi que ses yeux remplis d'étoiles. Maggie avait toujours rêvé de se marier avec l'homme de sa vie, et de ne pas attendre longtemps, sachant qu'il ne fallait jamais hésiter, et maintenant c'était fait, elle était fiancée.

- Je ne te supporte pas, je profite de ta compagnie. J'en savoure chaque moment, et je veux que ça continue ainsi.

Magdalena n'avait jamais l'impression que la présence de Tristan était nuisible, quand elle était avec lui, tout était toujours mieux, tout allait bien soudainement. Tandis qu'elle était couchée sur le dos sur le lit, Magdalena jeta un coup d'oeil à sa bague, pour la regarder plus en détails. Elle était magnifique, elle ne trouvait pas d'autres mots pour la décrire. Soudainement, elle vit et sentit les doigts de Tristan s'enrouler autour des siens, tandis qu'il lui avouait comment il avait été stressé de lui faire sa demande, ce qui était tout à fait compréhensible.

- Tout ce que je peux te dire, c'est que tout était génial. Je vais me souvenir de cette soirée toute ma vie.

Maggie ferma les yeux en s'imaginant déjà dans une belle maison, avec plusieurs enfants, des animaux, des chiens, des poissons rouges. Avant, cela semblait utopique, mais maintenant, Magdalena avait l'impression de se rapprocher de ce rêve, elle était en train de le vivre d'une certaine façon. Elle garda les yeux fermés, savourant le moment, jusqu'à ce qu'ils mettent fin au long baiser qu'ils partagèrent et qui eut le même effet que les autres sur Maggie, soit de lui donner l'impression d'être dans un petit paradis, quelque part où elle était seule avec Tristan.

- J'ai si hâte qu'on se marie... Toi tu voudrais quoi pour notre mariage ?

Magdalena n'avait pas commencé à parler de son avis, parce qu'il était très partagé. Comme toutes les filles, plus jeune, elle avait toujours voulu avoir un mariage de princesse, où elle porterait une longue robe blanche, où il y aurait une tonne d'invités, bref, tout fait en grand. Mais maintenant, elle ne savait pas si elle voulait cela, ou encore quelque chose de très simple, délicat, seulement avec leurs amis et leurs proches, tout simplement. Quelque chose de très petit, mais qui voulait dire quelque chose. Elle ne voulait rien commencer à planifier non plus, simplement savourer le moment présent.

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Ma chérie, mon ange venu du ciel il y a plus de cinqs ans, me répondit qu'elle ne me supportais pas mais qu'elle profitait de ma compagnie, qu'elle savourait chaque moment et qu'elle voulait que sa continue. Je souria, maintenant qu'on étaient fiancés, elle pouvait compter sur moi pour emmenager officiellement a Providence. Je n'allais plus la laché, loin de la, j'allais faire tout pour passer un maximun de temps avec elle. La chouchouter, lui faire plaisir, faire tout pour la rendre heureuse. Après lui avoir dit a quelle point j'étais stresser de faire ma demande elle me répondit qu'elle pouvait simplement me dire que tout était génial et qu'elle allait s'en souvenir toute sa vie. Je souria, moi aussi j'allait m'en souvenir toute ma vie. Le jour ou on passa un cap dans notre relation la ou on parti plus loin, on aillait a présent faire voir a toute le monde qu'on s'aiment énormément tout en se mariant.

-On pourrai la raconter a nos enfants plus tard. Mais on ne dira pas que j'était stresser.

Je souria et la regarda amoureusement ensuite. Elle me dit peu après qu'elle avait hâte de se marié et me demanda se que je voulais pour le mariage. Je souria, du moment qu'elle soit la, sa m'allait, enfin encore une chance qu'elle soit présente le jour du mariage, parce que sans futur mariée, il n'aurait pas de mariage. Je redevins sérieux peut après, je voulais un mariage avec elle biensur mais aussi avec nos familles respectives, nos amis. Un simple mariage me suffisait, du moment qu'on été avec les personnes qu'on aiment et qu'on aimerait qu'ils soient présent a coter de nous pour se jour si important pour nous. Mais avant tout, je voulais faire un mariagee tels que Maggie, ma chérie le voyait. Si elle l'imaginait a Las Végas, a Providence, A Juneau ou n'import'ou autre, seul ou avec tout nos amis tout m'importait. Je veux que se mariage sois le plus parfait pour mon petit ange, tel qu'elle l'imagine.

-Mon ange, notre mariage se fera ou tu veux, quand tu veux et avec qui tu veux, biensur avec moi comme futur mari, très sexy dans son costume. Et que tu voudras dévorer a notre nuit de noce.

Magdalena se mit à rire quand elle entendit Tristan lui dire qu'ils ne raconteraient pas que le jeune homme était stressé au moment de faire sa demande, voire même avant. Ce n'était pas un rire moqueur, mais plutôt un rire léger, joyeux. Elle ne voulait pas se moquer de Tristan, sachant qu'il était un peu orgeueilleux, mais elle pensait que pour tous les hommes, faire une demande en mariage, c'était loin d'être reposant. De plus, Tristan s'était donné beaucoup de mal, Maggie le savait, elle pouvait l'observer par tout ce qui avait été fait dans l'appartement. C'était pour cela qu'elle riait, et toujours en continuant de rire, elle dit:

- D'accord, on va leur dire que tu étais tranquille, que tu semblais presque n'en avoir rien à faire...

Elle ne continua pas longtemps, parce qu'elle s'était remise à rire, montrant là qu'elle taquinait beaucoup plus qu'autre chose. De plus, elle avait commencé à se poser des questions à propos du mariage, rien de très grave. Premièrement, où cela allait se passer: Dans leur ville natale ? Ici même, à Providence ? Magdalena n'en avait aucune idée, parce que d'un côté, elle avait beaucoup d'amis ici, c'était devenu sa seconde demeure, mais elle savait que ce n'était pas toutes les personnes qu'ils connaissaient, Tristan et elle, qui avaient les moyens de se déplacer pour le mariage, d'autant plus que la distance était considérable. C'était une grande question à se poser, et Tristan venait de lui dire que tout ce qu'elle voudrait pour leur mariage, elle l'obtiendrait. Cela la fit sourire, il était si attentionné, et elle adorait cela. Elle échappa un léger rire quand il lui dit aussi qu'il serait très sexy dans dans son costume.

- Ça je n'en doute pas une seconde ! Et je crois pas que tu vas tenir très longtemps quand tu vas me voir avec ma robe !

Magdalena continuait quand même à hésiter. Serait-il mieux une grande cérémonie, ou bien quelque chose de plus intime. Mais oui ! Pourquoi pas les deux !? Quelque chose de plus important à Juneau, où Maggie porterait probablement une robe plus hivernale étant donné la température, et quelque chose de plus intime à Providence, puisqu’ils y connaissaient moins de personnes. Le meilleur des deux mondes ! Évidemment, c’était une idée comme ça, mais Maggie ne put s’empêcher d’en faire part quand même :

- Et si on se mariait deux fois ? Une fois à Juneau, et l’autre à Providence ? Comme ça tout le monde serait content, et je vais pouvoir t’arracher ton costume deux fois.

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Voir Magdalena rire a cause de ses remarques, qui ne fit rire que lui face a d'autre personne, le fit sourire. la jeune femme répondit que si je ne voulais pas dire a nos enfants plus tard que j'était stresser alors on dira que j'était tranquille comme si j'en avait rien a faire. La desuite, je me dit que je préférais dire a nos enfants que j'était stresser que dire que j'en avais rien a faire, parce que c'était faux. Si je devais dire quelques choses a nos enfants, serait que j'était stresser, comme sa je pourrai leur montrer que je tient vraiment a leur maman et que je l'aime comme un fou.

-Non, je préfère dire que j'était stresser alors.

Après avoir dit que j'allais être sexy dans mon costume lors de notre mariage elle me sourit, et me répondit que j'allais pas tenir longtemps quand j'allais la voir dans sa robe de marié. Je souria a mon tour, j'avais déjà du mal a ne pas lui sauter dessus depuis qu'on s'était retrouver, mais de l'imaginer en robe blanche surment longue, qui mettrais son corps en valeur, et avec la quelle elle sera sublime, me fit sourire encore plus.

-On évitera ses détails la a nos enfants.

Elle me proposa ensuite de se marié deux fois, j'arqua un sourcil bien étonné, mais quand elle me dit que sa serai une cérémonie a Juneau, surment avec nos familles respectifs, et un autre a Providence, pour ses amis et ses proches, puisque que je connaissais a peinne les personnes sauf Leïla. Je trouva l'idée très chouette, ses amis et nos familles respectifs pourraient assistés a notre mariage et nous nous pourrions leur montrés qu'on s'aime plus que tout. L'idée me fut encore plus génial quand t-elle me dit qu'elle pourrait m'arranger mon costume deux fois. Je souria et me mis a rire ensuite.

-Tu aura le courage d'attendre qu'on sois seul au moin pour m'arrancher mon costume mademoiselle ou futur Madame.

Je lui pose peut être la question mais moi même je ne sais pas si je pourrai attendre qu'on se retrouve seul. Sinon depuis un moment on parlait d'enfant, biensur j'en veux mais je ne sais pas si je suis prêt pour en avoir maintenant. Enfin si j'arriverais a m'occuper de notre enfant, cette idée me fit fuir tout temps m'attiré, l'idée d'avoir des enfants m'attiraient aussi.

Magdalena se mit à rire de plus belle quand Tristan lui dit que finalement, ils pourraient dire à leurs enfants qu'il était stressé de demander Maggie en mariage. Elle avait dit le contraire surtout pour plaisanter, parce qu'après cinq ans, elle pouvait se douter que si Tristan la demandait en mariage, c'était parce qu'elle l'aimait, et sa nervosité venait par le même fait. Elle était vraiment chanceuse d'être amoureuse d'un garçon comme Tristan, et encore plus que ce garçon l'aime en retour ! Elle voulait le montrer au monde entier, elle voulait que tout le monde sache combien elle était amoureuse de lui, et c'était pour cela qu'elle avait lancé l'idée de se marier deux fois, parce qu'elle savait que venir à Providence n'était pas à la portée de tout le monde à Juneau, et l'inverse était aussi vrai.

- Oui, on l'évitera.

Magdalena adorait les enfants, elle en voulait depuis toujours, mais cela, ça pouvait attendre. Après tout, ils n'avaient même pas vingt ans, et maintenant, ils avaient toute leur vie ensemble devant eux. Maggie savait qu'elle serait une bonne mère, et que Tristan serait un père extraordinaire, mais elle pensait qu'ils pourraient profiter de leur jeunesse avant de devenir parents. Ils venaient de se fiancer, il avaient tout leur temps. Elle sourit quand Tristan l'appela "futur Madame":

- Future madame Anderson, tu trouves pas que ça sonne bien ?

Elle esquissa un sourire, puis elle eut soudainement une idée. Elle voulait annoncer à ses parents la bonne nouvelle, et elle était en compagnie de Tristan, donc c'était encore mieux, et elle était persuadée que même si dans sa famille, ça n'allait pas pour le mieux, ses parents seraient quand même contents de savoir qu'il était fiancé, parce que des deux côtés, ils avaient été tous témoins de la formation de leur couple et de leur amour qui s'était développé. Elle dit alors:

- Ça te dirait qu'on appelle nos parents ? Pour leur annoncer la grande nouvelle ?

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Elle me dit Futur Madame Anderson et me demanda ensuite si je ne trouvais pas que sa sonnait bien? Je souris, bientot nous serons Madame et Mesieurs Anderson et nous donnerais naissances, enfin elle donnerait naissance a nos enfants qui seront aussi des petits Anderson. Je me pencha vers elle l'embrassa et posa ma main sur son ventre.

-Je trouve que sa sonne très mais vraiment très très bien

Je m'approcha de son oreille.

-Futur Magdalena Van Dyke Lewis Anderson

Pour une fois je n'avais pas décortiqué son nom de famille, j'avais mis des mois et des mois à l'apprendre, et encore aujourd'huit. Elle me demanda ensuite si j'était intéressé par le fait d'appeller nos parents pour leur annoncer la nouvelle. A vrai dire je connais déjà les réactions qu'auront mes parents, ma mère sera super heureuse parce qu'elle adore Maggie, mais elle redoutera le fait que je quitterais Juneau pour venir vivre auprès de Maggie a Providence. Et du coter de mon père sa réaction sera toute différente, mais si il aprécie Maggie, il ne sera pas d'accord sur le fait que je quitte Juneau et encore moin qu'on se marie aussitôt. Surtout avec les froids qui trainent entre nous pour le moment. Mais je suis sur que au niveau des parents de ma petite chérie, il n'y aura aucun problème, enfin je l'espère.

-Bonne idée mon ange.

Je pris mon portable dans ma poche.

-Tes parents ou les miens pour commencer?

Magdalena Van Dyke Lewis Anderson... Ça commençait à être un peu long tout de même. Une chose était certaine pour Maggie, c'était qu'elle allait probablement faire changer son nom après le mariage, sûrement pour Magdalena V. Anderson. Ce serait plus simple, et elle trouvait que ça sonnait plutôt bien. Ses parents n'y verraient probablement pas d'inconvénient, parce qu'ils savaient très bien que le nom qu'ils avaient donné à leurs enfants n'était pas court non plus, donc si Maggie ne voulait pas se casser la tête, pourquoi dirais-ils non ?

- Madame Anderson, c'est pas plus simple non ?

Même si elle ne vivait plus avec eux, Magdalena adorait ses parents, et quand il lui arrivait quelque chose, c'était chez elle, le second endroit où elle appelait, la première personne étant toujours Tristan. Puisqu'elle était avec lui en ce moment, c'était quand même lui qui l'avait demandée en mariage, elle était impatiente d'annoncer la nouvelle à ses parents. C'est pour cela qu'elle avait fait cette suggestion, sachant aussi que ses beaux-parents, surtout sa belle-mère, seraient probablement contents d'apprendre la nouvelle. Elle fut contente que Tristan approuve son idée, demandant même qui appellerait en premier. Étant du genre impatiente, Maggie décida d'appeler en premier, et dit:

- Si tu veux, je vais commencer. Si je n'ai pas quelque chose pour les arrêter ça risque d'être long.

Peut-être la simple excuse de "Tristan veut appeler ses parents lui aussi" pourrait faire en sorte que la conversation soit raccourcie, ce qui conviendrait à Maggie, parce que même si elle avait eu l'idée, elle ne voulait pas passer la soirée au téléphone, son idée étant plutôt de passer du temps seule avec Tristan. Elle prit alors le téléphone et composa le numéro. Ce fut sa mère qui répondit et sur un ton enjoué, Maggie dit:

- Coucou maman ! Tu vas bien ? Oui je vais super bien, j'ai peu de temps, mais j'ai une bonne nouvelle à t'annoncer. Oui, une très bonne nouvelle. Si tu veux, tu peux mettre le téléphone sur le haut-parleur pour que papa et mes frères entendent... Dis maman, ça ne te dérangerait pas que je change mon nom pour Maggie Anderson ? Oui, oui maman Tristan vient de me demander en mariage. J'ai dit oui, évidemment ! Je suis tellement contente ! Je vais tout te raconter plus tard, Tristan veut appeler ses parents aussi. Merci ! Je vous aime moi aussi ! À plus !

Elle raccrocha, puis tendit le téléphone à Tristan en disant:

- À ton tour !

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Mon petit ange venu du seul, la qualitatif la décrit bien, me demanda si Madame Anderson n'était pas plus simple, et je dois dire qu'elle avait plutot raison, vous l'imaginer sur des papiers administratif, ou de simples papiers a rempplir et encore a noter sur les papiers de naissances de nos enfants de plus tard, Van Dyke Lewis Anderson. C'est vrai que de raccoursir a Anderson était beaucoup plus simples mais je voulais qu'elle garde aussi son nom de jeune fille et que nos enfants l'ai aussi. Nos enfants tant bien que mal des Anderson mais aussi des Van Dyke Lewis.

-J'avoue c'est plus simple mais je voulais que tu garde ton nom de jeune fille aussi. Et surtout que nos enfants l'ai aussi malgrés le faite qu'il soit super compliquer a retenir.

Je souria, c'était une petit pique comme j'adorais lui faire, et heureusement qu'elle le prenait toujours bien. Elle commença en première a appeller ses parents, je m'installa devant-elle, ils avaient l'air heureux pour nous en voyant le visage de Maggie. Quand ma petite chérie dit qu'elle avait répondit oui et ajouté évidement derrière son oui, je m'approcha et posa un baisé dans son cou. Après avoir raccrocher avec ses parents elle me tendit mon portable et me dit que c'était a mon tour je souria et pris le portable, je chercha dans mon répertoire le numéro de ma mêre et appuya sur le téléphone vert. Une sonnerie, deuxième sonnerie, uen troisième et on décrocha de l'autre coter.

-Allo Mam' c'est moi...Ah papa...Oui je vis encore...Je suis a Providence avec Magdalena...Je téléphone pour vous dire une bonne nouvelle...Avec Maggie on va se marié...Oui je vais rester a Providence...Pa' je t'ai dit que je ne travaillerais pas a ton entreprise...Papa tes la....Ah maman comment tu vas?....Moi aussi je suis très heureux...Oui les retrouvailles se son très bien passé avec Maggie...Oui a coter de moi...Elle te dit bonjour...T'inquiète pas pour papa, je le connais et dans un sens je s'avais déja sa réaction a la bonne nouvelle que je vais t'annoncer...Non Maggie est pas enceinte...On va se marié, j'ai fait ma demande il y a une petite heure et elle m'a dit oui....Merci maman...Maman tu pleur?...faut pas pleuré...sa me fait plaisir que tu sois contente pour nous deux...d'accord bisous...Moi aussi je t'aime et je ne suis plus ton petit maman...bon d'accord bisous...

Je raccrocha, et regarda Maggie.

-Bon on peut pas dire que mon père sois extrénement ravi, mais ma mère est folle de joie. Elle t'adore.

Magdalena ne put s'empêcher de sourire quand Tristan lui dit qu'il voulait qu'elle garde son nom de jeune fille. Il était vrai que celui-ci était compliqué et long, et Maggie n'avait pas eu le choix de l'avoir, mais pouvait le laisser à ses enfants. Voyant que Tristan se refusait de lui faire enlever son nom de jeune fille après leur mariage, il faudrait bien qu'ils fassent une concession, parce que leurs enfants mettraient énormément de temps à apprendre leur nom. Elle trouva soudainement une idée, et dit:

- Et si on mettait l'initiale seulement ? Du genre Magdalena V. Anderson ? Je ne perds pas mon nom de jeune fille au complet, tu en penses quoi ? Et c'est aussi l'initiale de mon deuxième prénom.

Son nom de famille étant déjà assez long comme ça, les parents de Maggie n'avaient pas jugé bon de mettre l'initiale du second prénom, Vitaly. Ce genre de paperasse, ils pourraient aussi très bien en parler plus tard. Pour le moment, ils se concentrèrent davantage sur le fait d'appeler leurs parents. Maggie le fit en premier, et elle faillit devenir sourde quand elle entendit toutes les exclamations de joie provenant du téléphone. Elle savait que ses parents et ses frères avaient entendu, et Maggie les avait entendus réagir aussi. Cela la rendait vraiment contente qu'ils approuvent ce mariage et elle avait déjà hâte de les revoir.

Ce fut ensuite au tour de Tristan d'appeler ses parents, et Magdalena savait que ce serait probablement moins joyeux que la conversation que Maggie venait d'avoir avec sa famille. Tandis qu'il parlait avec son père, Maggie se blottit dans son dos, puis mit sa tête sur son épaule, à cette distance, elle put entendre son futur beau-père contester la décision de son fils, ce qui lui fit perdre son sourire. Elle savait qu'il n'allait probablement pas approuver l'idée du premier coup, mais peut-être se ferait-il à l'idée ? Maggie récupéra son sourire quand elle tendit la mère de Tristan la saluer, et dire qu'elle était contente.

- Moi aussi j'adore ta mère. Et pour ton père, je suis sûre que lorsqu'il va se rendre compte que son fils est heureux, il va changer d'avis.

Maggie fit un nouveau sourire, puis posa délicatement ses lèvres sur celles de Tristan.

Les retrouvailles sont toujours les plus émouvantes

Elle me proposa une idée, pour garder son nom de jeune famille, elle proposa de prendre la première lettre de Van et de la mettre devant Anderson. et en même temps le V pouvait représenté son deuxième prénom, Vitaly. Je lui souria cette idée me plaisa, j'adorais son deuxième prénom en plus il signifie le se qu'elle est pour moi, enfin vous aller me dire que je suis un peu fou, mais si on enlève le Y a la fin et qu'on rajoute un e, bin sa fait vital et Maggie est bien plus que vital dans ma vie, si je ne l'ai pas, je ne sais pas si je pourrai rester vivre dans se monde.

-Oké va pour Madame V.Anderson.

Pendant mon coup de fil a mes parents, elle se mit derrière mois et posa sa tête sur mon épaule du coter ou je tenais mon portable. A la réaction de mon père, je fut triste pour Maggie, qu'elle est entendu qu'il s'en foutais complètement, sa m'atristait moi aussi, j'espérais qu'il allait me dire au moin qu'il était content pour moi, mais a la place, il me parlas de suite de son entreprise. Mais très vite je fus content en entendant ma mère ravie, malgrés le fait que son mariage allait se transformer en divorse d'ici quelques semaines, elle était pour, enfin pour nous, elle adorais Maggie et me l'avait répété plusieurs fois quand j'était a Juneau. Après ma conversation téléphonique avec mes parents, Maggie me dit qu'elle adorait ma mère et que je ne devais pas m'inquiète pour mon père parce que quand il me verrai heureux et changeras d'avis. Je s'avais que mon père allait seulement changer d'avis si je reprenais plus tard son entreprise et que j'y travaille déjà dedans maintenant et par l'occasion ne pas faire mes études. Maggie me souria et m'embrassa. Je lui souria aussi et me retourna vers elle parce que torde mon cou pour la regarde ne me plaisait pas beaucoup même si sa en vaut la pienne. Je me fis face a elle et l'embrassa, se passa mes mains sous son tee-shirt et la fit basculé en arrière pour faire en sorte qu'elle se retrouve sur le dos et moi sur elle.

-Je t'aime, je sais j'arrête pas de te le dire mais je peux m'en empécher.

Je captura a nouveau ses lèvres de les miennes et posa la paume de main sur sa joue, et mon autre moin resta sous ses t-shirt a la carresser du bouts des doigts.

Magdalena se disait que ce qui était de la question de son changement de nom, ils pourraient régler tout cela après le mariage, avec leurs parents, surtout ceux de Maggie, qui devaient fort probablement donner leur accord pour que leur fille modifie son nom de naissance. Maggie fut surprise, et contente, que la question soit réglée rapidement, puisque Tristan accepta son idée de seulement placer l'initiale à la fois de son prénom et de son nom de famille, soit V. Cela lui convenait parfaitement, et cela semblait aller à Tristan également, ce qui l'arrangeait tout à fait.

Maggie avait été témoin de plusieurs choses qui arrivaient dans la famille de Tristan et même si la sienne n'avait pas autant de moyens, au moins elle était unie et heureuse. Elle comprenait maintenant pourquoi les gens disaient que l'argent ne faisait pas le bonheur. Cela lui faisait de la peine à chaque fois de voir Tristan souffrir à cause de ses parents, surtout à cause du travail de son père qui était très exigeant, mais elle ne pouvait pas y faire grand-chose. Au moins, elle était appréciée de ses beaux-parents, surtout de sa belle-mère, qui l'avait manifesté au téléphone plus tôt. Elle était si contente de bien s'entendre avec elle, et elle savait que toute sa famille adorait Tristan, ce qui était un excellent début.

- Moi aussi je t'aime, et j'aime aussi quand tu me le dis, tu pourrais le répéter autant de fois que tu le voudrais, je ne pourrais jamais m'en lasser.

Maggie eut des frissons de plaisir dans le dos quand elle sentit les doigts de Tristan sous son t-shirt. Cette sensation lui avait tellement manqué ! Il y avait si longtemps que Maggie ne s'était pas sentie aussi bien. Elle ne pouvait pas dire qu'elle avait été constamment malheureuse le temps qu'ils avaient été loins l'un de l'autre, mais elle devait admettre qu'il lui manquait quelque chose dans sa vie, ou plus précisément quelqu'un, et cette personne, c'était Tristan. Maintenant, plus jamais il n'allaient se séparer, Magdalena serait incapable de le supporter.

- Tout ça m'a tellement manqué... jure-moi que plus jamais on va se séparer...

Magdalena dit cela entre deux baisers. Maintenant qu'ils étaient fiancés, c'est certain qu'ils allaient rester ensemble, mais Maggie avait besoin de l'entendre, pour qu'elle soit vraiment heureuse.

Les retrouvailles sont toujours les plus émouvantes

J'étais content que sa famille avait bien appris la nouvelle comparer a mon père. Pour mon plus grand bonheur sa famille me donnait l'impression de vraiment m'aprécier, enfin j'ai jamais eu de problème avec des membres de sa famille, que se soit ses parents ou ses frêres, a aucun moment ou j'était en leur compagnie, rien n'avait mis en cause une dispute. De plus je mentant super bien avec ses frêres et sur le temps ou j'était encore a Juneau et elle a Providence, j'allais régulièrement leur rendre visite pour garder le contact.

J'était peut être bien dans sa famille, mais encore mieux collé a elle, sentir son corps contre le mien, l'entendre respirer m'apaise. Elle me répondit qu'elle m'aimait aussi et qu'elle aime aussi quand je lui dit que je l'aime et qu'elle ne pourrais sans lasser et que je pouvais lui répété autant de fois. Je souris c'était la même chose de mon coter, l'entendre me dire quelle m'aime me donne le sourire, la joie de vivre, et le plaisir de rester a ses cotés.

Sentir Magdalena frissonné du bouts de mes doigts me fit sourire. On repris nos baisés qu'on avait laissé de coter pour appeler nos familles respectifs. Ses lèvres aussi m'avaient manquées, tout, même les moments ou on les passes l'un contre l'autre a dormir, et je dois avouer que depuis qu'elle était partit de Juneau, je dormais très mal la nuit, même si on dormait pas tout les jours ensemble, je s'avais qu'elle était tout prêt et que si elle avait besoin de moi, j'était la et vice versa. Mais quand elle est parti, j'avais l'impression que je ne pouvais pas la protéger ou encore la consolé, je ne pouvais pas la prendre dans mes bras et lui dire que je l'aime au creux de son oreille. C'était comme si on me privais d'oxygène. Entre deux baisés de la longue liste qui devait suivre, elle me dit que tout sa lui avait manqué, et elle me demanda de lui juré qu'on sera plus jamais séparer.

Je posa ma main sur sa joue et la carressa de mon pouce, je plongea mon regard dans le sien et ensuite lui posa un doux baisé sur ses lèvres.

-Sa ma manqué aussi. Et je te promet qu'on sera plus jamais séparer. Je vais faire le reste de ma vie avec toi.

Je reposa mes lèvres contres les siennes et la longue liste de baisé pouvait commencer, je voulais la retrouver, ne faire plus qu'un avec elle l'espace d'un instant.

Magdalena n’avait pas douté une seconde de la réaction de ses parents face à la nouvelle qu’elle leur avait annoncé, soit qu’elle allait se marier avec Tristan. Pourquoi ? Parce que normalement, il était assez rare qu’ils entravaient le bonheur de leurs enfants, sauf dans des situations extrêmes. Par exemple, si Maggie avait été trop aveugle pour voir que Tristan n’était pas l’homme de sa vie, sa mère se serait probablement opposée à l’idée, mais ce n’était pas le cas, pas du tout. Bien souvent, quand elle appelait chez elle, elle apprenait que Tristan était passé, ce qui la faisait toujours sourire. Le fait qu’il se sente comme chez lui, c’était quelque chose que Magdalena adorait, et elle ne voulait surtout pas que ça change et, évidemment, que ses frères ne viennent pas tout gâcher !

Maggie adorait sa famille, mais elle aurait bien voulu que la situation soit la même dans sa belle-famille, soit avec les parents de Tristan. Elle savait que le père de son petit-ami, maintenant fiancé, travaillait beaucoup, donc c’était plus difficile d’être proche comme les parents de Maggie qui étaient toujours à la maison, ou presque. Son père était marin, donc il partait parfois quelques jours, mais quand l’hiver venait, il ne faisait presque plus de voyages. C’était beaucoup moins exigeant que le métier du père de Tristan qui l’occupait à l’année. Elle savait que ce métier entraînait des tensions, mais que pouvait-elle y faire, sinon se montrer le plus sympathique possible quand elle se rendait chez ses beaux-parents ? C’était le mieux que Maggie pouvait faire dans cette situation, et ça semblait fonctionner, parce que comme elle l’avait vu, ou entendu, plus tôt, sa belle-mère était folle de joie à l’annonce que son fils allait se marier avec Maggie. Pour qui ce ne serait pas une bonne nouvelle ?

À un moment donné, toutes ces pensées s’effacèrent de l’esprit de Maggie. Elle n’était pas du genre à être tête en l’air, se perdre dans ses pensées, mais quand elle était avec Tristan, qu’ils étaient dans les bras l’un de l’autre et qu’elle l’embrassait, le monde disparaissait, et Magdalena devenait comme une sotte à un moment donné, elle ne pensait plus à rien, sauf à Tristan, à ses baisers, ses caresses. Cela faisait si longtemps que c’était pire. Elle ne sentait même plus le courage de formuler une seule phrase, elle se laissa emporter corps et âme par les baisers de Tristan, et par cette belle nuit d’amour qui s’ensuivit.

Le lendemain matin, Maggie eut l’impression d’avoir rêvé tout ce qui s’était passé la veille. Les retrouvailles à son studio, la demande en mariage. Ce fut quand elle ouvrit les yeux et qu’elle se rendit compte qu’elle n’était pas au studio, qu’elle était plutôt sur un matelas devant un feu de bois avec une bague à la main qu’elle se rendit compte que ce n’était pas un rêve, c’était plutôt un rêve devenu réalité. Elle bougea un peu pour regarder au-dessus de sa tête et voir Tristan dormir. Elle avait passé la nuit dans ses bras, comme cela avait été magique ! Elle sourit en voyant son visage paisible, il était vraiment chou comme cela. Quand elle le vit bouger un peu, elle posa un baiser sur sa joue et dit :

- Bonjour mon amour.

Les retrouvailles sont toujours les plus émouvantes

Une nuit magnifique, c'était la cas de le dire, on avait fait plus qu'un l'espace d'un instant. On s'étaient retrouvés, enfin retrouvés, je l'aimais c'était sur et certain. Se soir j'avais eu le plaisir d'officiel notre relation avec la plus belle, ma chérie, mon ange venu du ciel en la demandant en mariage. A présent, il était temps pour nous deux de se couché, de terminé nos galipettes et se retrouvé l'un contre l'autre sous cette couette chaude. On s'endormis, tout deux dans les bras de morphé, me demandant toujours si je n'avait pas réver de cette soirée.

Une lueur blanche, blanche pétante, j'ouvris un oeil et le referma aussitot, une main posé sur mon torse, une respiration lente et paisible et un baisé sur ma joue me fit sourire. Un bonjours mon amour se fit entendre, je souria encore plus mais laissa mes yeux ferma, je retourna la tête vers elle, j'ouvris un oeil, qu'elle est belle, j'ouvris l'autre, je cligna des yeux, une fois, deux fois, trois fois.

-Bonjours toi

Je me rapprocha de son visage et posa mes lèvres sur les siennes. Je la regarda lui souria et la serra un peu plus tout contre moi.

-Bien dormi futur Madame V.Anderson? Et non vous dormez pas.

J'était quasiment sur qu'elle allait se demander, en se réveillant, si elle ne dormait pas, et j'était fière de lui faire s'avoir ou plutot de lui faire comprendre qu'elle ne révait pas, loin de la tout sa était réelle, la soirée d'hier ici aussi. Tout était réelles pour notre plus grand plaisir. J'était toujours étonné même au réveille elle est superbe. Je me rapella aussitot qu'hier soir on avaient faire l'amour et qu'on s'était pas protéger.

-Dit mon ange, hier soir..

Je fut stopper quand je me rendis compte qu'il y avait un truc en dessous de mes fesses qui me piquait.

Il y avait longtemps que Magdalena ne s'était pas sentie si bien en dormant. Depuis qu'elle était partie de Juneau, elle avait pris du temps à s'adapter à sa nouvelle chambre, dans un endroit beaucoup plus chaud que l'Alaska, et aussi, parce qu'elle était seule, Tristan n'était pas près d'elle. Elle lui parlait au téléphone avant d'aller dormir parfois, mais c'était bien peu comparativement à la nuit qui venait de passer. Ils venaient vraiment de se retrouver, pendant un moment, ils n'avaient fait qu'un, et c'était cela qui manquait le plus à Maggie depuis qu'elle était arrivée à Providence. Maintenant qu'elle était fiancée, plus jamais elle n'allait se séparer de Tristan.

Magdalena se rendit compte que tout était réalité quand elle se réveilla, et ce fut encore plus réel quand ce fut Tristan qui lui confirma qu'elle ne dormait pas. Cela la fit sourire de façon un peu stupide, mais tout de même adorable. C'était sa manière de dire qu'elle avait passé une nuit parfaite, magique. Elle dit même:

- Je n'ai jamais aussi bien dormi depuis notre dernière nuit ensemble. Et toi ?

Magdalena perdit légèrement son sourire quand Tristan commença sa phrase sans la terminer. Cependant, au fil du temps, Maggie avait commencé à s'y faire, à compléter ce qu'il voulait dire, et à voir son air un peu inquiet, elle comprit alors qu'il s'était rendu compte que la veille, ils avaient fait l'amour et qu'ils ne s'étaient pas protéger. Trop amoureux, concentrés l'un sur l'autre, ils n'y avaient pas pensé. C'était la première fois que cela leur arrivait. Magdalena se mordit alors la lèvre inférieure et se mit à penser à ce qui pourrait arriver. À son avis, rien de très grave. Elle dit alors:

- Je ne pense pas qu'il y ait de problème...

Ensuite, pour lui remonter un peu le moral, elle l'embrassa et dit:

- Le pire qui peut arriver, c'est qu'on ait un bout-de-chou par la suite ?

Selon Maggie, c'était vraiment "le pire" qui pouvait arriver, soit qu'elle tombe enceinte, à moins que Tristan lui ait caché quelque chose, ce qui la surprendrait beaucoup.

Les retrouvailles sont toujours les plus émouvantes

Après ma question elle me répondit qu'elle n'avait pas aussi bien dormit depuis notre dernière nuit ensemble a Juneau. A vrai c'était de même de mon coter , je dormais très mal loin d'elle. Elle me renversa la question. Je souria et caressa son bras.

-J'ai dormis comme un gros bébé.

Je commença ma phrase quand je senti quelques chose me piqué les fesses, je bougea un peu, et ne senti plus rien au bout d'un moment. Apparament avec le début de ma phrase elle compris imédiatement se quee j'avait en tête, elle me répondit qu'elle ne pensait pas que c'était un problème, elle devait surment pas penssé a tombé enceinte. Elle m'embrassa ensuite, et me dit que le pire qui pouvais arrivé était seulement un petit bout de chou. Je souria a ses derniers mots. C'est vrai quand réflichissant, je n'avais pas de maladies sexuellement transmisible, ou rien d'autre que pourrai attrapé Maggie dans une relation sexuelle, sauf la mettre enceinte, je souria encore une fois.

-Un bébé dans neuf mois? Waouh, j'ai déja hâte de changer ses couches, sauf si il aura fait un gro popo.

Je rigola a ma remarque, je ferais les pipis et ma chérie le reste. D'un coup j'eu comme une vision, Magdalena avec un énorme vendre rond, elle devait surment être enceinte, mon regarde se tourna presque automatiquement sur son ventre, si elle allait^être enceinte après cette nuit j'aurai le plus grand bohneur de voir son ventre s'arrondir de jour en jour, et ensuite assisté a l'accouchement avec elle, mal si je dois avouer que sa ,me fait peur. Mais d'être là à la naissance de notre petit bout de chou pour moi était primordiale.

-Roh maintenant qu'on en parle j'en ai trop envie. Et le seule remède pour que sa arrive, c'est selui la.

Je me mis au dessus d'elle et captura ses lèvres.

Magdalena ne craignait pas le fait de tomber enceinte. Depuis qu'elle était jeune, elle aimait passer du temps avec des enfants plus jeunes qu'elle. Ce n'était pas, comme certains mauvaises langues disaient, parce qu'elle était incapable de se faire des amis de son âge, mais plutôt parce qu'elle aimait les aider, passer du temps en leur compagnie. Quand elle fut plus âgée, on lui demandait souvent d'aider les plus jeunes à l'école, et aujourd'hui, elle étudiait en adaptation scolaire, ce n'était certainement pas pour rien. Elle aimait passer du temps avec les enfants, et elle savait qu'elle aurait du talent. Devenir mère à dix-huit ans, pourquoi pas ? Si elle voulait en avoir plusieurs, chose qu'elle désirait d'ailleurs, il faudrait bien qu'elle commencer tôt !

Maggie se mit à rire quand Tristan se fit presque à l'idée d'avoir un bébé dans un mois, devoir s'en occuper, le nourrir, changer ses couches, sauf quand il ferait des gros besoins. À ces mots, elle ne put s'empêcher de lui donner un coup sur l'épaule, pour plaisanter bien sûr, puisqu'elle avait compris dans cette phrase que c'est elle qui ferait cette sale besogne. Ensuite, elle se mit à rire, et dit:

- Il va falloir que tu t'y fasses ! Qu'est-ce que tu vas faire si un jour on a plusieurs enfants et qu'il faut en changer deux en même temps ?!

Magdalena ne put s'empêcher d'éclairer son visage d'un sourire quand Tristan lui dit que maintenant, il avait trop envie d'avoir un enfant. Elle dit même, entre deux baisers:

- Ah oui ? Et tu en voudrais plus d'un ?

Maggie cessa de poser des questions, n'ayant plus envie de le faire de se laisser aller aux baisers de Tristan. Ils venaient de se réveiller d'une longue nuit d'amour, mais Maggie s'en fichait complètement. Tristan lui avait manqué plus que tout au monde. Si on lui avait demandé de laisser ses études et de retourner à Juneau rien que pour lui, elle l'aurait sûrement fait. Elle ferait tout pour passer du temps dans ses bras. Après environ une heure de câlins et de baisers, Maggie sentit son ventre gronder, elle dit alors:

- Tu as faim ?

Les retrouvailles sont toujours les plus émouvantes

Elle me répondit que je devais mis faire, parce que si un jour on aurait plusieurs enfant on devrait peut être les changés en même temps, je souria, sa phrase me fit dire qu'elle voulais avoir plusieur enfants, mon sourire s'agrandit encore plus. Ma chérie souria et me demanda ensuite entre deux baisé j'en voulais plus que un enfants. Je posa mes lèvres sur les siennes avant de prendre la parole.

-Heum des millions de petits monstres.

Je lui souris et me mis au dessus d'elle, mes avant bras contre le matelas, je posa mes lèvres sur les siennes. Après un long et bon moment dans ses bras, nos lèvres collés les unes a l'autre. Elle cessa les baisé et me demanda si je n'avais pas fait. A vrai mon ventre commençait a crier famine, mais j'était telement bien dans ses bras que je n'avais aucune envie de me retiré de ses bras. Mais la faim pris place.

-Enfaite si j'ai fait depuis un moment déjà mais je suis trop bien dans tes bras.

Je me rendis compte ensuite qu'il n'y avait rien dans le frigo qui n'était d'ailleur pas encore branché. Je me gratta la tête et posa mon front contre le sien.

-Heum je suis désoler, mais j'ai rien a manger ici. Mais j'ai une idée on va prendre une douche, et je t'invite pour prendre un petit déjeuner.

Je me leva de suite, puis me rabaissa l'embrassa et ensuite parti dans la salle de bain, je me déshabilla et partit sous la douche. Quand je me rendis que j'avais oublier le gel douche sur le lavabo, je sorti de la douche pour aller le chercher.

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