Quand la frustration supplante les mots... { Andrews }

• Voila, je viens de me déconnecté, les larmes aux yeux, je crois que c'est la première fois qu'une si petite phrase vienne me brisé en deux, vous avez celle ou elle a dit que j'était...Qu'elle ne..s'avait même plus si elle avait ..un frère. Depuis l'avoir lu, cette phrase me résonna dans la tête. Je referma mon écran en l'abaissant sur le clavier de mon ordinateur portable et respira un bon coup. Je devais m'évadé, me changer les idée, sinon je ne tiendrais pas. Je sonna a Abbi, mais elle ne répondit pas. Je ne lui laissa aucun message. Je parti dans ma chambre, je me déshabilla et enfila ensuite un jogging, je pris une casquette et laissa mon portable sur le lit comme sa personne ne pourrai me joindre. Et je pourrai me vider l'esprit.
  
  Je sorti de cher moi, enfin plutot du cher Abbi et ferma la porte a clés. A peinne sorti de la maison, je me mis a courir jusqu'au parc. Les écouteurs dans les oreilles, pour ne rien entendre, mais sa ne changea rien j'avais toujours, cette phrase qui apparraissait dans ma tête. A chaque fois que je la vis je me mis a courrir de plus en plus vite, je ne remarqua même pas que j'était a présent dans la parc, j'était toujours dans mes pensés, mais j'en fut très vite sorti que je bouscula quelqu'un. J'enleva mes écouteurs et m'arrêta.
  
  -Excusez moi mademoiselle.
  
  Je fut bouche bée quand je reconnu cette personne, elle avait fachement grandit, elle fesait beaucoup plus mur et mature. Je lacha même mes écouteurs dans le vide, je n'en revenais pas. Je n'ausais parler, mais cette phrase revint de plus en plus et fit apparaitre cette migraine que j'avais plus eu depuis plus d'une semaine. Je serra les dents. Je la regarda, j'avais envie de la prendre dans mes bras, de la serrer fort et d'effacer ses deux ans passé. Mais cela mettait impossible. Je fit demi tour et remis mes écouteurs.

Je m'en voulais vraiment. Alors qu'Andrews m'avait tellement manqué ces deux dernières années, je n'avais pensé qu'à mon orgueil. Espèce de nouille... Quand il s'était connecté, j'aurais voulu lui demander comment il allait, que j'étais contente de le revoir et tout, mais ça n'avait pas sorti. J'avais été aveuglée par la déception et la rancune, si bien que j'avais dit des mots que je n'aurais même pas dû imaginer écrire sur mon clavier. J'avais probablement gâché toutes les chances de reprendre contact avec lui, et c'est cela que je pleurais sur ce banc de parc, à me lamenter sur mon sort. Si des gens tentaient de rire de moi ou, ce qui était rare, de me consoler, je ne m'en rendais même pas compte.

En fait, je repris contact avec la réalité quand je décidai de me lever et de recommencer à marcher, mais au même moment, je me sentis bousculée. Ce n'était vraiment pas le bon moment pour me faire ça, pas du tout, mais quand je me rendis compte de qui il s'agissait, je gardai la langue dans ma poche, j'avais dit assez d'horreurs pour la journée, surtout à cette personne en particulier. L'espace d'un moment, je restai plantée sur place, les yeux rougis par mes pleurs. Je n'arrivai pas à dire un mot, je n'osais même pas dire quoi que ce soit, jusqu'à ce qu'Andrews se retourne et remette ses écouteurs, alors que moi je n'avais même pas enlevé les miens. Par contre, je n'eus pas besoin de les retirer pour savoir que j'avais dit sur un ton désespéré:

- Andrews, attends !

Ma voix était rauque, faible, désespérée. Même si je ne l'avais pas avoué à voix haute, ça se voyait clairement que je m'en voulais terriblement. Alors que je croyais que ça n'avait servi à rien de dire cela, je m'effondrai en position assise sur le banc où j'étais installée quelques secondes auparavant, sentant de nouveau les larmes couler sur mes joues. À ce moment, je me pus m'empêcher de ramener mes jambes à ma poitrine, ressemblant à une petite boule, une petite boule pleine de larmes.

• Elle ne dit rien, pas un seule mot sorti de sa bouche. La phrase hante toujours mon cerveau. Je la regarda droit dans les yeux, remis mes écouteurs dans mes oreilles, me retourna et me remit a courir. Après un moment je m'arrêta et presqu' automatiquement je me retourna et regarda se qu'elle fessait. Enfin, elle ne fessait rien mais elle est était recroquevillée sur elle-même, cette vision me fit mal parce que quand elle se recroqueville comme sa, sa veut dire qu'elle est mal, qu'elle a besoin de moi, comme avant, c'était comme un signe avant, quand je la retrouvais comme sa dans son lit, je me mettait a coter d'elle et la prenait dans mes bras. Je pris mon ipod dans mes mains et l'éteint et le remit ensuite dans ma poche, je me rapprocha doucement près du bans ou elle était posé, la voir comme sa me fit mal. J'aime pas s'avoir qu'il souffre ou qu'elle pleure surtout quand c'est a cause de moi. Une fois arrivé près du banc, je me mis a coter d'elle. Je ne fit rien de suite, mais aucune réaction de sa part était visible et effectivement elle pleurait, je l'entendit.
  
  Mon regard était posé sur elle, je ne s'avais pas l'enlever , j'était fixé sur ma petit soeur, ma petite Amber ou ma Bibi comme je l'appelais. Je passa un bras sur son dos et de mon autre main je la posa sur son bras pour faire en sorte de la poussée contre moi et la prendre dans mes bras, je la serra très fort.
  
  -C'est moi, Andrews.
  
  Elle pleurait vraiment a chaude larmes, a cause de moi.
  
  -Je suis désoler Amber, crois-moi moi s'il te plait, je te jure pendant un an, toute les semaines je t'envoyais une lettre. Tu ma manquais t'imagine même pas a quelle point. Bibi dit moi quelques choses.

Si je voulais cacher que j'avais de la peine, que je souffrais énormément, que j'aurais voulu que la foudre s'abatte sur moi à ce moment là, j'avais bien du mal à le faire. Depuis que j'étais enfant, le moyen de montrer que je souffrais, c'était de me rouler en boule comme je venais de le faire et pleurer seule dans mon coin. Avant, quand j'étais petite, Andrews venait me voir, me consolait, mais depuis qu'il était parti, quand je me roulais ainsi, j'avais froid, je savais que personne ne viendrait me consoler.

Cette position, les larmes qui coulaient sur mon visage, tout cela me ramena aux deux années que j'avais passées sans Andrews à mes côtés pour me défendre. Avant, quand quelque chose n'allait pas à l'école, Andrews était là pour m'aider, c'était mon grand frère, mon protecteur. J'essayais de me faire une place dans la société, parmi les plus populaires, et je réussissais, jusqu'au moment où Andrews partit. À ce moment, mon monde s'était écroulé tout d'un coup, j'étais l'enfant solitaire, la wanna be de qui tout le monde se moquait, sur qui on renversait son plat à la cantine à l'heure du repas. Oui, j'avais vécu un véritable enfer, et c'est pour cela que j'étais partie, que j'avais décidé de finalement devenir une adulte, même si je n'avais que quinze ans. À me regarder pleurer ainsi, on se rendait compte que ce n'était pas le cas...

Quand je sentis un bras passer dans mon dos, j'eus une réaction de surprise. Je n'avais toujours pas fermé mon IPod, donc je n'entendais pas ce qui se passait autour de moi. Mais j'étais tellement prise avec mes pleurs que je ne me retournai même pas, je n'eus qu'un frisson qui vint augmenter cette sensation de froideur autour de moi. Soudainement, le froid sembla disparaître un peu, j'entendis malgré mes écouteurs Andrews lui dire que c'était lui qui la prenait dans ses bras. À ce moment, je me mis à sangloter encore plus fort. Il fallait que ça sorte, ça faisait deux ans que ça me rongeait de l'intérieur.

Andrews faisait en sorte, sûrement pas volontairement, que je me sente encore plus mal de ce que j'avais dit. Il me dit qu'il m'avait envoyé une lettre par semaine durant un an au complet, et je le croyais. Mais pauvre nouille que j'étais, je ne l'avais jamais su, parce que mon père me le cachait. En plus, il m'avait appelé par le surnom qu'il m'avait donné alors que j'étais encore toute petite, Bibi. Pendant ce temps, j'essayai de ravaler mes larmes, de me calmer un peu, surtout qu'Andrews venait de me demander de lui dire quelque chose. La seule chose que je pus dire, c'est:

- Je... je suis dé... désolée Andrews...

Je relevai un peu la tête, je retirai mes écouteurs de mes oreilles, et je me remis à pleurer comme un enfant en disant:

- J'ai besoin de mon frère... C'est l'enfer depuis que tu es parti, j'ai tellement souffert...

• Pendant que le moment ou je l'a pris dans mes bras, pleins de bons moments que j'avais passer avec elle se passa dans ma tête. On resta comme sa pendant un moment. Elle me dit ensuite qu'elle était désoler, je ne comprenais pas le seul fautif dans l'histoire se que moi et personne d'autre, j'aurai jamais du la laisser seul, même si je souffrais de voir de type qui ma servis de père, enfin si on peut appelé sa un père. Elle releva légèrement la tête, enleva ses écouteurs de ses oreilles. Elle se remit a pleurer ensuite et me dit pour finir qu'elle avait besoin de moi et que depuis que j'était parti c'était l'enfer. Je la serra plus fort encore.
  
  -Aller ma petite bibi, sèche tes larmes et on va parler, on vas tout se dire, tout se qu'on n'a sur le coeur.
  
  Je posa mon pouce sous son menton et fit en sorte de le soulever pour qu'elle me regarde, elle était déjà superbe avant mais a présent c'était vraiment une jolie adolescence. Je lui souria.
  
  -Tes superbe.
  
  Je me demandais si je devais vraiment lui dire, la raison de mon départ, sa allait surment la blessé et elle en voudrais surment a notre père.
  
  -Si tu tient vraiment s'avoir la raison pour la quelle que je suis parti, d'accord. Heu ....enfaite...bon pour faire vite, notre père a abusé de moi que j'était plus petit.
  
  Je souffla un coup, qu'allait être sa réaction.

J'eus un hoquet quand Andrews me demanda de sécher mes larmes et demanda à ce que tous les deux se disent ce qu'ils avaient sur le coeur. Il fallait que je me calme, sinon ça allait sortir n'importe comment. Durant deux ans, j'avais mis sur la faute de mon demi-frère tout ce qui m'était arrivé, mais je me rendis compte qu'il n'avait rien à la voir là-dedans. Si je n'étais pas aussi rancunière et stupide aussi... Juste à penser à cela, même si Andrews m'avait demandé le contraire, je continuai à verser des larmes, et je continuai, même quand Andrews me releva la tête et me dit que j'étais superbe. Les yeux bouffis, le visage rempli de larme, complètement désespéré, disons que j'avais été plus jolie !

- Superbe, il me semble que le mot est fort non ?!

À ce moment, je ne pus m'empêcher d'arrêter de pleurer un moment et faire un sourire du mieux que je le pouvais au milieu de ma tristesse, de mes regrets. Par contre, ce sourire, je ne le gardai pas longtemps, puisqu'Andrews se décida finalement à me révéler la raison pour laquelle il était parti de la maison deux ans auparavant, et cela me fit un choc total. Pendant un moment, je ne bougeai pas, j'étais carrément pétrifiée. Comment avait-il pu faire ça !? Je savais qu'il avait fait des choses peu correctes dans sa vie, mais à ce point !? C'était carrément dégueulasse...

La première chose que je fis quand je réussis à bouger, c'est commencer à trembler, de façon incontrôlable. Je ne savais pas quoi dire, je ne savais même plus si je devais bouger ou non. Juste imaginer cela me levait le coeur, j'aurais eu envie de vomir, mais la seule chose que je pus faire, c'est passer mes bras autour d'Andrews, comme si je pensais que ce câlin, cette marque d'affection, ferait en sorte qu'il puisse oublier ce qui s'était passé, mais ce n'était pas possible. Malgré cette raison, très valable, je ne comprenais pas pourquoi il était parti. Je devais être encore une sotte adolescente après tout, mais il aurait pu me le dire, on aurait surmonté cela ensemble...

- Dire que je pensais que lorsqu'il ne faisait rien pour m'aider c'était méchant...

Je voyais là que je n'avais aucune raison de me plaindre. Pendant deux ans, j'avais été victimes des pires méchancetés possibles à l'école, et même si je me confiais, je disais que je n'étais pas bien, que je voulais partir, mon père ne voulait rien savoir, il me disait toujours que ça allait se replacer, mais il a fallu que je déménage pour que ça change, et encore là, je ne savais même pas si ça allait marcher...

• Elle me demanda si je ne trouva pas le mot superbe trop fort pour la décrire, je la regarda et lui souria. Si on lui enlevait les larmes du visages ainsi que ses rougeurs, elle était parfaite. Je lui fit un signe de non de la tête, c'était ma petite soeur, enfin peut être pas de sang mais au font de moi, dans mon coeur c'était ma soeur, ma petite soeur et si rien qu'une seule personne lui fait du mal je pourrais sortir de moi et me battre. J'eu du mal, du mal a lui dire se que j'avais endurer avec se types qui était personne d'autre que mon père adoptif. Aucune réaction de sa part, c'était comme si elle était figée, quand tout d'un coup elle se mit a tremblé, je la serra contre moi en lui en espérant faire sortir cette image de ma tête, celle qui me revint a chaque fois que j'en parle ou quand je cauchemarde. Un sourire s'afficha sur mon visage dans t'elle me serra dans mes bras, se fut comme il y a deux, quand on se serra dans nos bras dans les moments de joie tout comme les plus tristes. Elle me dit qu'elle pensait que c'était méchant quand il ne fesait rien pour l'aidé. Je la serra encore un peu plus fort. Je décida je changer complêment de sujet de conversation, je voulais ammener un peu de bonheur dans nos retrouvailles et lui partager, lui dire, que j'était en couple depuis quelques mois maintenant avec Abbigail.
  
  -Tu sais sa a été dur pour moi de m'en rendre compte, j'en ai jamais parler sauf a deux personnes, toi et ainsi celle qui me rend heureuse depuis un moment, elle s'appelle Abbigail, je suis tombé amoureux d'elle il y a plusieur mois, voir plus d'un an et on est ensemble de un moment maintenant, je lui ai parler de toi et je voudrais que tu la rencontre, enfin si sa te dérange pas biensur.
  
  J'espérais de tout coeur qu'elle allait accepter, c'est ma petite soeur et je voudrais que celle-ci rencontre celle qui fait de moi le plus heureux du monde.

Quand Andrews m'avait annoncé cela, je me sentis à la fois mal et fière de moi. Mal, parce que je n'aurais jamais pu douter que mon propre père ait pu faire ça à mon frère. Il est vrai que je n'avais jamais été jamais aussi proche de lui que d'Andrews, et ce n'était pas la personne qui prenait la plus de place dans mon coeur, mais maintenant, il venait de descendre dans mon estime, au plus haut niveau. Pour moi, c'était un salaud fini, et plus jamais j'allais lui adresser la parole. Malgré tout mon dégoût qui me levait le coeur au bout du compte, je me sentis soulagée, même fière, d'être partie de chez moi, même si ce n'était pas pour cette raison.

Pourquoi j'étais partie vivre à Providence ? Parce que j'avais appris, allez savoir comment, qu'Andrews traînait dans le coin. Même si avant cette conversation, je lui en voulais terriblement, une partie de moi voulait le retrouver, s'assurer qu'il allait bien, qu'il ne m'avait pas oublié, parce que c'est ça que j'avais ressenti pendant deux ans, qu'il m'avait complètement oubliée. Maintenant, cette idée était loin derrière, moi, je savais qu'il ne m'avait pas oubliée, et je comprenais pourquoi il était parti, et je ne lui en voulait plus autant qu'avant. Si je voulais m'assurer qu'il allait bien, j'avais ma réponse, puisqu'il me raconta qu'il sortait avec une fille, Abbigaïl, depuis plusieurs mois. Je voyais bien que cette fille le rendait heureux, pourquoi je refuserais ?!

- Non ça ne me dérange pas, à moins que tu lui aies parlé en mal de moi !

Je ne pus m'empêcher d'esquisser un sourire, n'étant pas totalement remise de mes émotions, ou du moins, pas assez pour rire. En plus, je pensais qu'avec tout ce que j'ai pu dire sur MSN plus tout, je méritais qu'il dise des horreurs à mon sujet, c'est pourquoi j'ajoutai:

- Sérieusement, si tu avais dit des horreurs sur moi, je pense que je l'aurais mérité après ce que je t'ai dit sur MSN, je me sens super mal...

Depuis son départ, j'avais été souvent maltraitée à l'école. Les gens me rabaissaient, me faisaient des coups sales, mais pas suffisants pour que ça se rendre chez les supérieurs. Normalement, quand ça m'arrivait, je me tournais vers Andrews, mais quand il était parti, je n'avais personne vers qui me tourner. Il était clair que depuis ce temps, je ressentais naturellement une sous-estime envers moi-même, et ça se voyait par ce que je venais de dire.

• Ma petite soeur me dit que sa ne la dérangeais pas de voir Abbi, mais se repris ensuite et demanda si je n'avais pas dit d'horreur sur elle. Je souria, elle aussi d'ailleur enfin un tout petit sourire mais c'était déjà sa, en même découvrir que son père, abusait son de son demi-frère, c'était normal qu'elle n'avait pas la pèche. Elle me dit ensuite qu'elle aurai compris si je l'avais insulté après se qu'elle m'avait dit sur msn dans la journée même. Je fit mine de chercher de quoi elle parlait, je lui souria ensuite et la repris dans mes bras, et je dis tout bas.
  
  -J'avoue que sa m'a beaucoup blaissé, mais tu as le droit de m'en vouloir de t'avoir laisser toute seul. Mais maintenant c'est du passé, on saient retrouvés et je ne compte pas te laisser te débrouiller toute seul, je suis la maintenant, je suis ton grand frère que tu le veule ou non, je serrais toujours la pour toi.
  
  Sa fesait vraiment peu de tant que j'était assis mais je commençais déjà d'en avoir marre. Je me leva donc, lui pris la main pour qu'elle se lève. Courrir ne lui ferai pas de mal.
  
  -Bon allez debout, tu vas courrir avec moi, parce que j'ai remarquer que t'avais attraper un petit bourlet.
  
  Je souria, c'était une plaisenterie, elle était superbe, et puis même si elle aurait été grosse et moche, a l'intérieur de moi elle aurait toujours ma petite soeur que j'aime.
  Bon go, je ne lui laissa pas le choix et la tira par la main pour qu'elle me suive.
  Avant que je l'abandonne comme un lache, on courrait souvent ensemble, surtout le dimanche matin pour commencer la journée en bonne conditions.