Si je devais recommencer ma vie, je n'y voudrais rien changer ; seulement j'ouvrirais un peu plus grand les yeux.
ft Megan Fox
Nom & Prénom :: Graziela Tia Sorabella Age , date et lieu de naissance :: Le 2 novembre 1991 en Italie. Études / Métier :: Etudes de stylisme en haute école spécialisée.
Vôtre histoire , vôtre vie , vôtre passé , vôtre présent ::
Il faisait beau mais froid. Le vent soufflait très fort, les feuilles des arbres tombaient les unes après les autres. Les branches balançaient de gauche à droite. Une jeune femme se balançait sur un fauteuil dans une vaste maison. La jeune femme était en pleurs. Son ventre la faisait énormément souffrir. Elle savait pertinemment ce qui se passait mais elle refusait littéralement d'y croire. Elle repensait à avant. Elle était heureuse avec son homme, un bel italien de 22 ans. Ils vivaient au jour le jour, ils ne se prenaient la tête pour rien. Sauf qu'un jour froid de février, la jeune femme se découvrit enceinte. Pensant que son homme la soutiendrait, elle lui en fit part seulement quelques heures après. Elle n'était pas effrayée, elle était presque rassurée. Sauf qu'en rien qu'une minute, sa vie bascula. Son homme, son bel italien, son cher et tendre partit. Il n'avait pas supporté. Il ne voulait pas être père. Il l'avait abandonnée. Elle avait fondu en larmes. Elle était restée des jours et des jours dans le noir, ses yeux étaient rouges et enfles. Elle n'en pouvait plus. Le temps de quelques jours, la jeune femme à pensé au pire. Le suicide. Elle y avait songé de toutes les manières. Mais sa mère sut la rassurer. Il fallait qu'elle vive pour l'enfant qu'elle portait dans son ventre. Elle ne pouvait pas se supprimer alors qu'elle portait un être en elle. Ce qui valut à la jeune femme de rester en vie. L'inconnu, qui grandissait petit-à-petit dans son ventre était sa seule raison de vivre. Et maintenant, maintenant que nous sommes un 2 novembre 1991, elle pleurait sur son fauteuil, se remémorant toute cette horreur qu'avaient pu être ces neuf derniers mois. Elle repensait à lui, lui qui l'avait si sauvagement laissée. Peut-être s'en voulait-il ... Peut-être reviendrait-il ... Elle fondait ses espoirs sur ça, mais pourtant, elle savait que ça n'arriverait pas. Mais elle y croyait, elle ne voulait pas abandonner cette pensée. Elle ne voulait pas l'abandonner. La sonnerie de son appartement retentit. Elle avait appelé sa mère. Elle vint difficilement lui ouvrir, son ventre la faisait souffrir, elle n'en pouvait plus. Elle voulait mourir. Sa mère la prit dans ses bras. Elle serre pendant un temps qu'elle ne pouvait compter. Elle ne s'en rappelait plus. Elle était trop ailleurs, trop dans un autre monde pour savoir qu'elle heure il était, qu'est-ce qu'elle faisait. Sa mère l'aida à nouer ses chaussures puis elle se précipita dans la chambre de sa fille pour préparer ses affaires pour la maternité. Elles finirent par partir de cette lugubre maison pour foncer à l'hôpital. L'hôpital de la ville de Milan. Elle accoucha difficilement, ça dura trois bonnes heures, trois heures durant lesquelles elle a souffert. Enormément souffert. La jeune feme pleurait. En même temps qu'elle poussait. Comment arrivera-t-elle à l'éduquer seule .. Sans son homme ? Son homme qui l'avait tant fait souffrir. Son enfant pointa enfin le bout de son nez. C'était une petite fille, elle était tellement craquante. On la mordrait tellement elle était choue. Elle prit sa fille dans ses bras, et elle lui sourit. Longuement. Se demandant de ce qu'elle allait faire d'elle. Elle ne pourrait pas se détacher d'elle. Impossible. C'était sa fille. Même pas la peine de vouloir la faire adopter. Pas moyen. Elle la serra dans ses bras. Puis la grand-mère de la petite lui fit prendre son bain. Son premier bain. Elle passa la nuit à l'hôpital. Son bébé dormait à quelques mètres d'elle. Son bébé, qu'elle avait nommée Graziela. Elle avait toujours adoré ce prénom, il allait tellement bien à la petite. Elle la regardait tout le temps, comme si elle avait peur qu'on lui vole son bébé. Puis le lendemain matin, elle décida de partir de l'hôpital avec son bébé. Elle le quitta, sa valise à la main et son bébé au creux de son bras, appuyé contre elle. Elle rentra chez elle, et, s'asseyant sur le canapé, berçait Graziela dans ses bras. Elle pensait à la magnifique famille qu'ils auraient put faire si le père de Graziela, cette petite si magnifique était restée. Puis le temps passait, elle vivait avec Graziela comme elle pouvait, elle essayait de donner à la petite la meilleure éducation possible. C'était la moindre des choses qu'elle pouvait faire pour sa fille, vu que son père n'était plus là. La jeune mère se sentait responsable, alors qu'elle ne devait pas. Elle vivait avc ça sur la conscience, mais elle réussissait à se convaincre au fil du temps que c'était loin d'être sa faute. Graziela vécut heureuse, auprès de sa mère, en Italie. Son père ne lui manquait pas, elle préférait ne pas en avoir plutôt que d'avoir un père totalement con. La petite se montrait très sociable, malgré son sale caractère qui s'affirmait de plus en plus au fil du temps. Il faut dire qu'elle est le genre de fille qui ne se laisse pas marcher sur les pieds, essayez de la chercher, vous la trouverez très vite. Sauf qu'un jour de juillet, le rêve italien se brisa. Après de longue recherche, la mère de Graziela découvrit que le père de Graziela était dans la Mafia italienne. Comme la Mafia, très maligne, sut que la famille Sorabella était au courant, il fallait fuir pour ces derniers. Ils prirent la direction des Etats-Unis, grand pays dans lequel ils auraient de la peine à les retrouver. Gaziela, alors qu'elle n'était âgée que de 16 ans était plutôt perturbée. Elle ne se retrouvait pas, dans ce pays qui n'était pas le sien. Les gens était froid, ils ne disaient pas bonjour dans la rue, ils n'étaient pas du genre à vous aider si vous avez un problème dans la rue. Mais bon, elle essaya de faire avec. Graziela, étant ambitieuse, décida de faire des études dans la Mode & le Design, elle adore ce domaine. Elle décida de finir le lycée et d'aller dans la Mode plus tard. Mais elle ne négligeait pas sa mère, bien entend. Elle était toujours là quand elle avait besoin d'aide. Sauf qu'un jour, rentrant à son appartement et remarquant que sa mère n'était pas là, elle la chercha, en regardant partout. Sa mère était allongée sur le sol de sa chambre, ne montrant aucun signe de vie. Graziela s'était mise à trembler, à claquer des dents, elle ressentait de la tristesse, de la colère. Elle savait qui avaient fait ça. Elle en était consciente. La Mafia. Ce ne pouvait être qu'eux. Sur le coup, elle aurait pu tous les tuer. Elle appela la police qui arriva dans le quart d'heure qui suit. Graziela était agenouillée auprès du corps de sa mère, la police réussit à la persuader de se lever après de longues heures. Elle pleurait, sans sa mère, elle ne s'en sortirait pas. Et tout ça à cause de son père. Son con de père. Maintenant, elle vit dans son appartement et fait tout pour supporter. Il y a des soirs où elle craque, elle fond en larmes. Elle n'a toujours pas digéré ce que ce groupe d'horribles italiens a pu faire à sa famille. Heureusement que les études sont là pour l'occuper et d'ailleurs, elle y donne beaucoup de son temps. Elle aime bien aller au parc d'attraction "Roller Coaster Riding", elle est une fan des sensations fortes et ça la fait oublier toutes les épreuves qu'elle a vécues lorsqu'elle est dans le parc.
Vôtre Caractère ::
So ... Le caractère de notre chère italienne. Bien si on devait le dire en un seul mot je dirais ... agressive ? Oui agressive ... Mais c'est loin d'être complet. Bien alors déjà disons qu'elle est loin d'être timide, très loin. Quand la belle à quelque chose à dire, elle ne pas se retenir, pour quoique ce soit. Il faut dire qu'elle pousse souvent des coups de gueules. Mais bon, c'est mieux de sortir sa colère plutôt que de la garder en soi non ? Oui, à mon avis. Bien, mais aussi, elle n'est pas que ça, parce que là on la qualifierait presque de méchante alors qu'elle est tout le contraire. Quand vous ne lui faites pas chier, elle peut réellement être une ange. Et aussi, elle délire tout le temps. Franchement, la moitié voire les 3 quarts de ce qu'elle dit c'est de la connerie pure et simple. Elle aime bien faire de l'ironie et d'ailleurs, elle en fait souvent. Et le truc à vous dire, pour pas que vous y laissiez votre peau une fois, eh bien notre chère italienne est rageuse, c'est bien le cas de le dire. Quand elle est énervée, elle est hors d'elle et elle devient complètement ingérable. Elle casse des trucs et sur le coup, elle pourrait tuer quoi. Elle ne se contrôle plus et elle peut littéralement vous sautez dessus. Et elle est folle aussi, mais ce n'est qu'une petite parenthèse hein .
Vôtre vie sociale ::
Graziels ne connait encore personne dans ce pays. Elle connaît certaines personnes, mais le mot connaissances n'est pas très approprié, c'est à peine si elle leur parle. Son meilleur ami, Alessandro Cavallaro est resté en Italie. Il lui manque énormément, et elle ne peut plus communiquer avec lui, elle a perdu son adresse et son numéro. Parfois, elle rêve de lui reparler, les deux étaient tellement complices. Mais à part lui, elle n'a pas vraiment d'autres relations, ses amis sont restés en Italie, et elle n'a plus de famille.
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