Kaylina A. Jefferson

Comme tout le monde, Kaylina a des qualités et des défauts, elle n’est pas parfaite. Elle est toujours souriante, joyeuse, toujours en train de faire la folle, d’amuser la galerie même si cela ne marche pas à tous les coups. On pourrait la qualifié d’impulsive ou de pile électrique car elle ne cesse jamais sauf quand c’est le moment de rêver, comme le dit-elle souvent : « Il y a un temps a tout !! Mais la priorité c’est de prendre le temps de rêver, de s’évader, de penser… « Kay’, comme la surnomme beaucoup de ses amis, est généreuse, et sait avoir un grand cœur quand il le faut, mais sait être têtu ainsi que franche dans d’autre condition.
Elle est très têtue car elle veut toujours avoir raison même si elle a tord, cela fait rire ses amis.
On pourrait dire aussi qu’elle n’a pas peur du ridicule, toujours prête a faire n’importe quoi, n’importe quand et « le ridicule ne tue pas sinon je serais déjà plus là « répète t-elle à chaque fois.
Mais Kay’ a ses petites faiblesses aussi, elle est lunatique, très franche, d’ailleurs certain de ses amis lui reproche régulièrement, et sa timidité l’empêche d’aller vers les gens inconnus.
Étant très dépensière, sa carte bancaire lui brûle dans les doigts à chaque tour en ville, de quoi faire hurler son banquier.
Enfin, que dire de plus sur cette jeune femme à part qu’elle est unique et que si l’on veut de sa compagnie, ce sera avec ses qualités et ses défauts ou rien.

Petite, Kaylina avait très peu d’ami à cause de son enfance difficile, de l’absence de ses parents trop répétitifs, Kaylina avait du mal à se socialiser avec les autres. Toujours en retrait par apport à ses autres camarades, elle préférait rester seule et ne pas combler le manque, pour éviter de trop s’attacher et éviter de souffrir encore une fois. Elle avait qu’un seul meilleur ami qu’elle connu à l’entrée en primaire juste avant la mort de son père avec lequel elle est toujours rester en contacte même après son départ dans son pays natale.
Sa mère, de prénom Hisookie, était rarement présente dans la maison. Elle revenait souvent la chercher chez la nourrice à point d’heure dans la nuit avec souvent un joint dans la bouche puant l’alcool. La nourrice se demandait souvent pourquoi on ne l’a mettait pas en foyer car elle serait sûrement mieux mais cela n’a jamais été exhaussé.
Son père, avec lequel elle avait établi une vrai complicité, lui offrait tout ce dont elle voulait, lui passait tout ses caprices d’enfants, puis plus tard d’adolescente. C’était pour cela que sa meilleure amie lui enviait d’avoir un père aussi génial. C’était pour elle un père idéal dont toutes les petites filles auraient rêvé. Kaylina consolait souvent son père qui était insatisfait de sa relation avec sa mère qui allait voir ailleurs. Elle ne compris pas toujours malgré tout mais était toujours là pour lui.
A l’adolescence, ou plutôt dès que son père fut décédé, elle commença sérieusement à mûrir, à grandir, à devenir une femme. Elle avait changé, elle avait toujours peu d’ami, mais s’avança doucement aller vers les autres. Elle eu ses diplômes, et commença les sorties, à rentré tard dans la nuit. Elle devient une fétarde et se confond dans la masse d’adolescent, elle eu des amis petit à petit, sans précipiter les chose, car elle donne pas sa confiance facilement.
Aujourd’hui, elle a des vrais amis, des amis, des connaissances, mais plus de famille proche dont elle côtoie.